Je suis heureux, on m'aime !
Bientôt la St Valentin. Un homme m'a déclaré sa flamme. Pas n'importe lequel : le plus grand homme de France. Nicolas himself. Yes, Sir. Il veut m'aider. Or, ne m'ont jamais aidé que ceux qui m'aiment. Alors forcément, il m'aime. Il NOUS aime. Il nous aime tous et veut notre bonheur. Et en plus d'aimer les gens, il aime la vie, la Terre, les zoziaux et tout le reste. C'est fou comme ça rassure, de se savoir aimé d'un homme comme lui.
Il l'a déclaré à la télé : ''...nous (le gouvernement, ndlr) voulons vous aider...''. C'est-y pas le meilleur des tops présidents de la Terre du monde ? Aux prochaines élections, sûr, je vote pour lui. Pour une fois qu'on s'intéresse à moi, pour une fois qu'on m'aime ; y'a pas, il a gagné une voix, le p'tit gars. En plus il est bien sapé et sa nana est canon. J'en ai les yeux rouges et mouillés. J'espère qu'il ne s'agit pas d'un débris tombé du jet de Fillon se barrant en week-end ? Va savoir... avec toutes ces pollutions qui nous tuent, ces nuages radio-actifs... euh, non, pas eux, ils se sont arrêtés à la frontière... avec ces vilaines voitures qu'on doit acheter, mais surtout pas utiliser parce que c'est mal, avec ces moches maisons mal isolées que nous habitons...
Pour en revenir à la déclaration du chef des chefs, il a ajouté : ''vous aider ... à changer vos comportements pour préserver l'environnement''. Mince ! Cela partait trop bien.
Donc le président de la république m'annonce qu'il va changer mon comportement. Va-t-il me dire au quotidien ce que je dois faire, comment me conduire... quelles fringues porter, où me placer, par où me déplacer, de quelle manière ? C'est Big Brother version Little Big Man ! Finalement, je m'inquiète un peu de cet étrange amour qu'il me porte. Et même, s'il pouvait m'aimer un peu moins, ça m'arrangerait plutôt.
Tensions au sommet des intentions
Ensuite, le président s'en est allé au Danemark expliquer à tous les autres abrutis de présidents qu'ils comprennent rien à la pollution. Il les a instruits. Il leur a conté les merveilleuses vertus d'une taxe nouvelle. Il leur dit que ça pourrait s'appeler Contribution Climat Energie (CCE). Patiemment il les a convaincus de sa passion écologiste. Il a parlé, parlé, parlé, il a brandi son doigt menaçant, il a promis... comme à Gandrange, comme chez Airbus, comme partout... il parle tout le temps et il promet beaucoup. Suite à quoi les autres présidents très cons se sont barrés, certains que Sarko est soit un âne, soit un opportuniste. Bref, ils sont restés courtois et ont même fait quelques courbettes pour pas qu'il s'énerve (on sait jamais ; ça pourrait exploser un truc pareil ?).
Ensuite de quoi de méchants journalistes à la solde de vilains pays ont statué que le sommet de Copenhague est un fiasco, que nous nous sommes une fois de plus ridiculisés et qu'entre un putain de dollar et mille tonnes de CO², l'un est palpable et vaut un Big-Mac, l'autre n'est qu'une abstraction gazeuse.
Reste que si tout le monde rit beaucoup sur la planète, le peuple français vient d'hériter du droit de montrer l'exemple, avec une Taxe Carbone toute belle, taillée à la mesure de ses généreux donateurs : NOUS. Il va sans dire que c'est pour notre bien. Uniquement pour cela. Mieux, ça va nous aider ; c'est le mari d'un célèbre mannequin qui me l'a confié.
On a gagné le pompon
C'est donc -cocorico- nous autres qu'on va montrer l'exemple. Ca en jette un max. J'suis fier. Sauf que l'équation est pourrie à la base. Montrer l'exemple de quoi ? Déjà la France est l'un des pays industrialisés qui rejette le moins de gaz à effet de serre, avec une émission de 6 tonnes / habitant / an, contre 20 tonnes pour les américains (et certes 200 kilos pour les haïtiens). Ce qui correspond à 1,4% des émissions mondiales. Y'aurait-il pas un peu foutage de gueule ? Ou alors on s'oriente vers une nouvelle escroquerie intellectuelle populiste, juste bonne à humecter quelques néo-écolos hélicoptèrisés gonflés d'orgueil et complexés comme des poux qui s'oignent la rondelle à coup de ''voyez-donc... comment ce peut-ce... regardez-moi...'' dans des salons ridicules dont la hauteur des plafonds n'a d'égal que leur manque d'envergure.
Rédemption : l'impôt moral
Alors que la commission Rocard souhaitait taxer à 32 euros la tonne de CO², Nicolas Sarkozy a statué sur 17 euros, juste histoire de désavouer son sinistre ministre premier qui venait d'annoncer 14 euros. Les verts trouvent ce montant ridiculement bas (sauf Noel Mamère, menteur vélocipèdiste qui préfère la limousine à la p'tite reine). Sur le principe, on s'oriente vers une somme de 100 euros la tonne vers 2030. Mais d'ici là, les zozos auront peut-être été raccourcis, ce qui ne fera du Premier cercueil une caisse carrée.
Dix-sept euros... avec ça je peux achèter un kebab et deux sodas. Mais je vois mal comment sauver une planète.
Et s'il était sincère
Imaginons que nos gouvernants, Borloo, Sarko' et la bande à Bozo soient sincères (ne riez, pas, c'est une hypothèse, ridicule, certes, mais c'est juste pour voir). Comme on l'a vu, cette taxe est sensée nous aider. Vu les chiffres annoncés, ça va pas aider grand chose : 4 centimes d'euro par litre d'essence, un poil plus pour le fioul... Cela revient à augmenter la TIPP qui est déjà de 60 centimes par litre. Donc, dans un sens, on s'en fout un peu, car si peu d'augmentation ne va rien changer à nos habitudes de consommation. D'un autre côté, et c'est là toute la confusion du propos, sachant que cette augmentation est forcément mal perçue des ménages, des industries et en gros de tout le monde, l'état va redistribuer le pognon (chèque vert, bonus d'impôt...). D'où la question : ça sert à quoi ?
La réponse nous est donnée dans le brouhaha des décideurs stériles : c'est l'idée d'une fiscalité neutre à but pédagogique ?!? Si vous comprenez, merci d'envoyer la notice. Je comprends les bonus et les malus, mais la fiscalité neutre, ça reste un mystère. Un peu comme le bisou après la fessée, le cadeau après le marron, je t'aime après ta gueule. Cela ne signifie rien.
Interdiction de parler de taxe symbolique, car les flingueurs de l'UMP (F. Lefèbvre et L. Besson) en ont décidé ainsi. De plus, ils sont soutenus par Doc Gynéco, Arthur et Steevy Boulay ! Alors gaffe, c'est du lourd.
En revanche, on peut parler d'une fiscalité nouvelle, puisque c'est vrai, et d'une fiscalité opportune, car elle l'apparaît bigrement. En effet, le gouvernement doit faire face au déficit budgétaire abyssal estimé à 120, voire 130 milliards d'euros pour 2009, avec des recettes fiscales en baisse de 25% par rapport à 2008. Il est aux abois. Or pour trouver des ressources nouvelles, il est plus ''vendeur'' d'invoquer l'écologie, plus facile de nous rendre responsables, que d'avouer humblement la nécessité de dresser un nouvel impôt sensé endiguer l'hémorragie. S'il s'agit d'un impôt moral, nous nous en acquitterons pour expier nos fautes ; une repentance pour notre folle consommation. Sachant par ailleurs que si on n'avait pas consommé ce maudit poison hydro-carboné, les finances ne seraient pas meilleures, puisque le rejet de gaz à effet de serre rapporte depuis toujours une manne généreuse : la TIPP.
Or nos chers zinzins imposeurs oublient une chose. Une constante remarquée depuis le 19e siècle : la fiscalité n'est pas le bon outil pour changer les comportements. Exemple avec l'Allemagne où de multiples éco-taxes n'ont rien changé dans le comportement des consommateurs et automobilistes outre-Rhin. En revanche les taxes autorisent à polluer ; la première bénéficiaire étant bien sûr l'industrie. C'est parfaitement réglementaire.
Qui va payer la CCE ?
On ne peut pas répondre à cette question sans explorer deux hypothèses de travail. Premier cas, la CCE est introduite dans l'indice des prix. Dans cette hypothèse, une compensation automatique va se faire. Donc si la taxe participe à l'évolution de l'indice des prix, ce sont tous des tas d'organismes non concernés par la pollution qui vont payer. Les salaires vont augmenter, et aussi les retraites. Et pour ce seul poste, c'est la sécurité sociale, laquelle n'a aucun levier pour agir sur les émissions de CO², qui va payer la taxe carbone. Bizarrerie... Le particulier quant à lui va payer deux fois la taxe. Une fois en passant à la pompe, une autre fois en passant à la caisse du supermarché. Et oui... les produits de consommation courante vont augmenter puisque la taxe sera répercutée par et sur toute la chaîne de transformation, de fabrication, de distribution, de transport... bref industrielle, et aux ménages. Une délicieuse équation qui montre, s'il en est encore besoin, que chaque taxe nouvelle condamne à en créer une autre pour équivaloir les problèmes que la précédente a engendrés. L'histoire du serpent ; cela fait juste 2000 ans qu'ON la connaît, mais visiblement -''ON''- n'apprend pas ça à l'ENA. Seconde hypothèse, la CCE n'est pas introduite dans l'indice du coût de la vie. Pas possible : comment une augmentation généralisée des prix pourrait-elle ne pas indexer le coût de la vie ? Donc retour à la première hypothèse.
Le chèque vert pour polluer
Là, on touche le comble de la drôlerie et du cynisme. Cette taxe nous sera rendue sous forme de chèque vert... Passons sur les conditions inimaginables qu'il va falloir réunir pour en bénéficier... ou pas. Il est envisagé de créer une agence qui centralisera cela. Qui dit agence, dit personnel, donc dépenses, locaux, centralisation ou décentralisation... placement des copains, héhé ! Des enquêtes individuelles seront menées pour définir le mérite individuel ou familial (nécessité d'utiliser une voiture, taille de la voiture, isolation de la maison...). Passons encore sur l'injustice qui va résulter de ces enquêtes : t'as pas d'sous, ta maison est une passoire, ta caisse un os... pas de chèque vert ! T'es blindé, tu roules en Prius (qui, soit dit en passant, consomme plus qu'une archaïque AX) et ta baraque est en paille de riz : tu touches le jackpot... Et que se passe-t-il à la réception du chèque ? Un phénomène que les sociologues nomment l'effet d'aubaine. Tu vas direct' acheter un beau 4 x 4 tout neuf, fabriqué chez de vilains pollueurs asiatiques ! La boucle et bouclée. Du coup, le paumé avec sa bagnole de merde n'est finalement pas plus polluant ; il est juste plus pauvre, et un peu plus frustré. Il affûte sa machette et attend patiemment qu'un politique s'égare près de son carton d'habitation.
Fiscalité verte ou bug de l'an 2010 ?
A toutes ces interrogations merdeuses s'ajoute une nouvelle problématique pas prévue au programme : une querelle de scientifiques. Ils s'attendaient à tout, les imposeurs-imposteurs, mais pas à ça. Quand ils ont constitué le GIEC (Groupe Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat), les politiques ont cru border leur sujet en se fiant à une communauté qu'on ne met pas en doute : les scientifiques. Mais la maladie des promesses pas tenues les a repris. Du coup, certains de ces scientifiques, parfois de grande renommée, se sont sentis (ou ont été) trahis. Et bizarrement, ceux-là même affirment aujourd'hui qu'on a peut-être un peu exagéré la menace. Courbes en mains, ils montrent qu'on ne sait pas grand chose. Ils expliquent qu'on n'a à ce jour pas fait le recensement systématique des températures terrestres, donnée indispensable pour causer à l'échelon planétaire. Bref... sans dire que tout ceci est du flan, ils laissent entendre que les ''clients'' du GIEC ont réellement besoin de chiffres alarmistes pour mener à bien leurs petites affaires. Mieux encore, ils résument la teneur profonde du rapport du GIEC à un postulat qui estime à 90% l'impact anthropique (dû à l'homme) dans le réchauffement climatique. Explication de texte : postulat = principe non démontré. Pour faire sordide, le réchauffement climatique tombe si bien, que si d'aventure y'en avait pas, ben y'en aurait quand même. Souvenez-vous les merveilleuses innovations informatiques vendues en décembre 1999 ! De toutes, la meilleure était quand même la peur...
Et l'énergie dans tout ça ?
Nos bons imposteurs-imposeurs expliquent plein de trucs passionnants concernant la position choisie pour nous baiser, mais pas réellement ce qui se passe. Tu parles ! Y'a des trucs qu'il vaut mieux taire. Par exemple, que personne ne respecte dans son intégralité le protocole de Kyoto. Pas plus la France qui l'a pourtant signé et ratifié en grande pompe. Que l'Inde et la Chine ont au programme de leur développement énergétique la construction de centrales électriques au charbon et au fioul. Que la France poursuit sont programme de modernisation et de développement de centrales à gaz et à fioul. Que les pays producteurs de pétrole estiment les conclusions du GIEC comme susceptibles d'engendrer une perte financière de 4 000 milliards de dollars. Que contrairement au rapport du CAS (Centre d'Analyse Stratégique) qui évalue positivement la production électrique éolienne en France, plusieurs chercheurs indépendants reprenant les mêmes données initiales arrivent à des conclusions opposées. Un travail de recherche qui a déjà coûté leur place à un journaliste et un universitaire, lesquels préparent actuellement un réquisitoire contre les trafics d'influence organisés autour du lobby éolien, très profitable en revanche. Que Connie Hedegaard, ministre danoise de l'environnement, a démissionné de la présidence du sommet de Copenhague le 16 décembre juste avant la venue des chefs d'états. On lui reprochait une intransigeance mettant mal à l'aise certains participants : ''... avancer coûte que coûte... ne pas laisser l'initiative aux climato-septiques...'' ; en bref, marche et tais-toi.
Changer nos comportements ?
Sûrement qu'ils vont changer, nos comportements ! Après toutes les annonces, les projets, les hésitations, les décisions, les revirements de nos décideurs, la première pensée qui vient est très logiquement de se projeter dans l'avenir. On a très envie d'investir des milliers d'euros dans un aéronef qui sera peut-être inutilisable, peut-être interdit, à court terme. C'est vrai qu'on est tellement idiot, nous le peuple. On fait bien là où on nous dit de faire. Et si le chef dit que c'est pas bien de consommer, alors on consomme plus. Rien. Sa belle TVA, sa TIPP, ses recettes et ses augmentations de salaire iniques, il s'en fera des suppositoires. Peut-être pleurera-t-il maman qu'on est très méchant et il trépignera de ses talonnettes flamenco. Parce qu'on est bête, mais obéissant. Si faut pas consommer et effet-de-serrer, on fera pas. Les entreprises se casseront la gueule et Nimbo-Joe sera bien triste. Mais nous le peuple, on aura tout bien fait comme il a dit le chef.
Ou alors...
On se rappelle de l'histoire. On se souvient qu'après chaque grande cause suit un grand oubli. Que le mari du célèbre mannequin passera la main à d'autres, aussi incompétents, mais différents. Et que pendant ce temps, pendant que rien n'avancera, nous volerons. Tiens, c'est l'hypothèse que je retiendrai en ce début d'année. C'est mon voeu. La CCE, je l'attends de pieds fermes. Elle ne changera rien à mon envie de voler, car je saurai compenser le surcoût par des économies ailleurs. Par exemple, je ne dépenserai plus d'essence pour me rendre au bureau de vote ; ça pollue. Du coup, vu que j'ai déjà investi dans un zoziau, je me dis que si c'était à refaire, je le referais. Et du même coup, je crois de nouveau en l'avenir. Et puis comme j'ai compris que machin ne m'aime pas tant que ça, je vais me consoler en consommant comme avant la fin du monde, à l'époque où les ours blancs vivaient sur une banquise que des politiciens avides n'avaient pas encore détruite. Je vais me goinfrer d'heures de vol et j'encouragerai mes potes à me suivre. Tour de France ULM par ci, week-end par là, rien que du bonheur, loin de Copenhague, loin des sinistres qui flinguent notre planète à force d'annonces tragiques et d'inventions morbides. J'enverrai une p'tite pièce à Haïti pour refiler un peu d'espoir à ces pauvres gus qu'ont morflé et je reprendrai deux fois du gras avec mes potes aveyronnais. Parce que J'AI PAS PEUR ! J'AI PLUS PEUR. Finalement il a fait un truc bien, le mari de la chanteuse : il m'a rendu ma combativité. Et la crise, promis-juré-craché, elle ne passera pas par moi.
Bons vols, avec légèreté.
Miguel Horville
A force de faire n'importe quoi... | | | octobre 2024 |
|
Somme-nous semblables ? | | | septembre 2024 |
|
ULM : les paillassons volants (partie 2) | | | août 2024 |
|
ULM : la serpillière des profiteurs (partie 1) | | | avril 2024 |
|
Et la montagne accoucha d'une souris | | | mars 2024 |
|
Le client est-il roi ? | | | janvier 2024 |
|
Remise de gaz : y penser à deux fois ! | | | décembre 2023 |
|
Cachez cet objet volant télépiloté que je ne saurais voir | | | octobre 2023 |
|
Blois 2023 : l'audace et la persévérance | | | septembre 2023 |
|
Et s'il y avait moyen de ne pas disparaître ? | | | juillet 2023 |
|
Un constructeur qui se fout bien du monde | | | juin 2023 |
|
Quand sonne l'heure | | | avril 2023 |
|
Situations conflictuelles | | | mars 2023 |
|
Le coup du marteau sur la tong | | | février 2023 |
|
Mon curé chez les ulmistes | | | janvier 2023 |
|
Les complices | | | décembre 2022 |
|
Quand les clubs nous font voler | | | octobre 2022 |
|
Fin de cycle sur tapis rouge | | | septembre 2022 |
|
Quand l'intégrisme vert vire au kaki | | | août 2022 |
|
Les règles et ce qu'on en fait | | | juillet 2022 |
|
Grand pouvoir et irresponsabilité | | | juin 2022 |
|
Un martien, sinon rien... | | | avril 2022 |
|
Et si on taxait l'indécence ? | | | mars 2022 |
|
Une lente descente vers le désenchantement | | | février 2022 |
|
Un ''sentiment'' d'augmentation... | | | janvier 2022 |
|
Histoire d'un voyage ordinaire extra | | | décembre 2021 |
|
MANEX pour OBL en OPS ULM | | | octobre 2021 |
|
MULM de la FFPLUM : une réussite ! | | | septembre 2021 |
|
Du bal des timbrés aux joyeux suicidés | | | août 2021 |
|
Une idée féministe... l'ULM inclusif tendance woke sauce Fayence | | | juillet 2021 |
|
Une balle dans le pied...
Une autre dans la tête !
Un paramotoriste activiste connardo-écolo de greenpeace a eu l'excellente idée de tomber comme une bouse sur le stade de football de Munich, blessant des spectateurs à l'ouverture du match France-Allemagne de l'Euro 2021.
Putain de détraqué ! Ce mec a réussi au moins une chose : tous les JT parlent d'ULM......
|
Monopole, le chemin de la régression | | | mai 2021 |
|
La pilule de la veille | | | avril 2021 |
|
L'argent des autres | | | mars 2021 |
|
Comparaison n'est pas raison | | | février 2021 |
|
Fédérer, uniformiser... désunir | | | janvier 2021 |
|
De quoi j'me mêle ? | | | décembre 2020 |
|
Le diable se cache dans les petits caractères | | | novembre 2020 |
|
La cocorilose* en inaction | | | octobre 2020 |
|
J'ai perdu mon ombre... et bientôt ma liberté | | | septembre 2020 |
|
Punir les pilotes ; une idée citoyenne ! | | | août 2020 |
|
Et Dieu créa la différence | | | juillet 2020 |
|
Bonne fête, mère Mozette | | | juin 2020 |
|
Vivre riche, sans modération | | | mai 2020 |
|
Histoire d'un rêve qui se termine | | | avril 2020 |
|
Le virus qui rend tout fou | | | mars 2020 |
|
Ceux dont la vie vaut plus | | | février 2020 |
|
Les bonnes résolutions | | | janvier 2020 |
|
Les pendul' à l'heure | | | décembre 2019 |
|
Pour qui roule la fédé' ? | | | novembre 2019 |
|
Qualif' radio : le début du renoncement | | | octobre 2019 |
|
Cherche ULM désespérément | | | septembre 2019 |
|
De qui se moque-t-on ? | | | août 2019 |
|
Les spécialistes | | | juillet 2019 |
|
Le respect des hôtes, des autres | | | juin 2019 |
|
Métastases cherchent naïfs pour proliférer | | | mai 2019 |
|
Les nouveaux ULM... | | | avril 2019 |
|
Vend liberté : mise à un prix 300 000 euros ! | | | mars 2019 |
|
Remplir les cases | | | février 2019 |
|
Générations éphémères | | | janvier 2019 |
|
Est-il urgent d'attendre ? | | | décembre 2018 |
|
Aérodrome avec supplément d'âme
| | | novembre 2018 |
|
Promotions à débattre
| | | octobre 2018 |
|
Victimes or not victimes ?
| | | septembre 2018 |
|
La foire aux accessoires
| | | août 2018 |
|
Esprit ULM... es-tu là ?
| | | juillet 2018 |
|
Entre peu et pas, un état d'esprit
| | | juin 2018 |
|
Espace Schengen, my ass...
| | | mai 2018 |
|
Entêtement irresponsable
| | | avril 2018 |
|
Du carburant frais pour voler ''safe''
| | | mars 2018 |
|
Universalité ; diversité ; francophonie... | | | février 2018 |
|
ULM : aéronef sémantiquement indésirable | | | janvier 2018 |
|
Ce contexte qui brise le rêve ? | | | décembre 2017 |
|
Parler patois pas parler à toi ? | | | novembre 2017 |
|
From rustic to high-tech | | | octobre 2017 |
|
S'élever, se régaler, se déplacer... | | | septembre 2017 |
|
De l'impuissance à l'imposture | | | août 2017 |
|
Baliser entre les cônes | | | juillet 2017 |
|
ULM : le bal des hypocrites | | | juin 2017 |
|
Les marquis du narquois vous em... brassent | | | mai 2017 |
|
500 kg : et après ? | | | avril 2017 |
|
Il est si facile d'interdire | | | mars 2017 |
|
A quand les ZIP ? | | | février 2017 |
|
Spécialistes en herbe | | | janvier 2017 |
|
|
Comprenez si vous pouvez | | | novembre 2016 |
|
Le ciel a bon dos | | | octobre 2016 |
|
Salon de Blois : les limites | | | septembre 2016 |
|
Les euro-cocus du 8.33 | | | août 2016 |
|
Concepteurs amateurs | | | juillet 2016 |
|
Ce chien... un humain comme les autres | | | juin 2016 |
|
Fumisterie électrique | | | mai 2016 |
|
De l'économie au foutage de gueule | | | avril 2016 |
|
|
Presbyte cherche gros caractères | | | février 2016 |
|
|
Le prix du baril d'a-brut-i... | | | décembre 2015 |
|
Vol de nuit : le bal des hiboux | | | novembre 2015 |
|
Et si la sophistication tuait ? | | | octobre 2015 |
|
Victimes consentantes | | | septembre 2015 |
|
Le sentir... ou pas | | | août 2015 |
|
La saison des gamelles | | | juillet 2015 |
|
|
Un système qui nous échappe | | | mai 2015 |
|
Multicopters : vers une 7e classe ULM ? | | | avril 2015 |
|
Le cinquième élément : celui de trop | | | mars 2015 |
|
Vigipirate : entre psychose et laisser-aller | | | février 2015 |
|
Dans le brouillard de la schizophrénie | | | janvier 2015 |
|
Une furieuse envie de voler ! | | | décembre 2014 |
|
Marques sulfureuses... attention patates chaudes ! | | | novembre 2014 |
|
Ceux dont la vie vaut moins... | | | octobre 2014 |
|
Drones : la messe est dite | | | septembre 2014 |
|
Attention aux bagages
| | | août 2014 |
|
Dieu ne connaît pas ma soeur ! | | | juillet 2014 |
|
L'ultime décision ; question de choix | | | juin 2014 |
|
Le beurre, l'argent du beurre et le reste on s'en fout | | | mai 2014 |
|
Volez! : la fin d'une histoire | | | avril 2014 |
|
Nous irons tous au paradigme* | | | mars 2014 |
|
Histoire belge | | | février 2014 |
|
Transfert d'incompétence : le Noël des voyous | | | janvier 2014 |
|
Drones à toutes les sauces | | | décembre 2013 |
|
Sophistication simplifiée | | | novembre 2013 |
|
Histoires de discrimination | | | octobre 2013 |
|
Un cône, ça se respecte ou ça se fume | | | septembre 2013 |
|
Dommages collatéraux | | | août 2013 |
|
Voler n'est pas un caprice | | | juillet 2013 |
|
Profiter c'est bien : mériter c'est mieux | | | juin 2013 |
|
Rencontres avec des martiens | | | avril 2013 |
|
Les pommes tombent des arbres... Les bananes s'y accrochent ! | | | mars 2013 |
|
La méritocratie des branleurs ; comment accélérer le déclin
| | | février 2013 |
|
Occasion : qu'est-ce qui cloche au pays des ulmistes ? | | | janvier 2013 |
|
Problèmes d'entoilage X-Air : lumière en vue | | | décembre 2012 |
|
Total Access ou l'étonnant paradoxe d'un vampire au sourire d'ange | | | novembre 2012 |
|
Une tablet'... à tous prix ! | | | octobre 2012 |
|
Sainte Sarah is watching you* | | | septembre 2012 |
|
Intérêts... Désintérêt ? Connivence ou naïveté ? | | | août 2012 |
|
Conflit de probité ou incompétence... le danger guette | | | juillet 2012 |
|
J'ai tombé, je m'ai fait mal, je m'ai relevé... ou pas | | | juin 2012 |
|
En mai, fais ce qu'il te plaît... | | | mai 2012 |
|
Le bruit flou de l'administration | | | avril 2012 |
|
Rotax 912 iS : une innovation qui se mérite | | | mars 2012 |
|
Ne sombrons pas dans la vulgarité | | | février 2012 |
|
Et quoi d'autre pour 2012 ? | | | janvier 2012 |
|
Voler, c'est voler | | | décembre 2011 |
|
Les limites ont été atteintes... et dépassées ! | | | novembre 2011 |
|
|
Les femmes, mères de tous les maux | | | septembre 2011 |
|
Le Tour ULM : une belle vitrine pour l'aéronautique | | | août 2011 |
|
Fausse-bonne idée cherche gogos... pour allonger l'oseille | | | juillet 2011 |
|
Du choix des mots et des propos | | | juin 2011 |
|
Basses couches en vert kaki | | | mai 2011 |
|
Ce facteur qui sonne toujours ... le glas | | | avril 2011 |
|
|
Des vautours planent sur nos ULM | | | février 2011 |
|
Restons éveillés | | | janvier 2011 |
|
Faisons un rêve | | | décembre 2010 |
|
Attention à la tâche d'huile... | | | novembre 2010 |
|
Mon royaume pour un bidon | | | octobre 2010 |
|
Genèse d'une Loi liberticide | | | septembre 2010 |
|
Aime le ciel, et le ciel t'aimera... peut-être | | | août 2010 |
|
Voler en Belgique... ou rouler | | | juillet 2010 |
|
Poule, oeuf et sophistication : la classe de plus, la classe de trop ? | | | juin 2010 |
|
Sous couvert d'anonymat | | | mai 2010 |
|
Taxe carbone : carbonisée | | | avril 2010 |
|
L'union fait notre force, notre salut | | | mars 2010 |
|
Le désespoir de ceux qui restent | | | février 2010 |
|
Bug de l'An 2000 : une simple répétition ? | | | janvier 2010 |
|
Migration : coucous désorientés | | | décembre 2009 |
|
La Chine s'éveille ; le monde s'endort | | | novembre 2009 |
|
Une crise... quelle crise ? | | | octobre 2009 |
|
Un parachute par amour, ou par respect | | | septembre 2009 |
|
Quand les pilotes dérapent... | | | août 2009 |
|
Quand les médias dérapent ! | | | juillet 2009 |
|
A moi le ciel électronique ! | | | juin 2009 |
|
A la gravité s'ajoute la connerie ! | | | mai 2009 |
|
Etrange réglementation... | | | avril 2009 |
|
|