La réglementation la plus libre faite pour des pilotes !
Notre réglementation ULM est la plus libre en Europe pour la pratique du vol motorisé. C'est un fait attesté. Mais il ne faut pas croire que la réglementation est éternelle et que les choses se font toutes seules. Le combat est permanent, souvent ingrat pour arriver à cet équilibre ''dynamique''. Au moment où certains d'entre nous ne se représenteront pas pour une prochaine mandature (2025-2029) après plus de 18 ans comme élus, 10 ans auprès de Dominique Méreuze et 8 ans comme président en ce qui me concerne, il est important de rappeler quelques enseignements.
La réglementation c'est l'État, pas la Fédération !
Le premier, c'est que ce n'est pas la Fédération qui fait la réglementation mais l'État avec la double délégation tout à fait originale (ministère des Transports, ministère des Sports). C'est grâce en particulier à une relation étroite et de confiance entre la DGAC et la Fédération que nous avons pu construire ce cadre (en 1981, 1998 ou 2018). La création de l'EASA en 2003 qui a pris en charge la certification a complexifié le travail. La Fédération Européenne (EMF) a été créée dans la foulée pour permettre de militer au niveau européen afin de rester en dehors du spectre de l'Agence (les fameuses annexes, la ''2'', puis depuis 2018 la ''1''). Paradoxalement, il faut être très présents au niveau européen pour rester en dehors ! Il est important notamment d'être introduits dans les organes d'influence comme Europe Air Sport (EAS).
Sans le soutien de la DGAC, nous n'aurions cependant pas pu imposer nos vues au niveau européen, en particulier lors du dernier ''round'' définissant le périmètre des pratiques ''hors'' agence européenne. Le combat a été rude. Et la poussée pour un ULM à 600 kg revient de fait à homogénéiser l'ULM au niveau européen et à terme à l'intégrer dans le champ de l'EASA. Il est donc absolument déterminant que la réglementation ULM reste nationale ! Tout en permettant des accords entre autorités pour la circulation entre États. Cela se fait très bien depuis 1981. Mais ne prenons pas l'exemple de la ''libre circulation'' que nous connaissons par ailleurs où nous sommes certains d'y perdre nos ''plumes'' ! Depuis 2017, nous avons réussi à prendre la majorité au sein de l'EMF en déplaçant le sujet de ''pour ou contre 600 kg ou X kg'' à ''pour ou contre une réglementation nationale ou européenne''. Mais les majorités se renversent vite et dans notre histoire, la pratique de l'ULM a eu des hauts et des bas. La très bonne dynamique depuis 20 ans n'est pas le fait du hasard.
La réglementation n'est pas une fin en soi
Le second enseignement est que la réglementation ne vit pas toute seule, même si parfois les juristes hors sol aiment bien le penser. Il est bien évident que les indicateurs de la sécurité des vols sont déterminants. Il faut donc absolument mener de concert le combat pour la réglementation et celui pour la sécurité. On se souvient que la très mauvaise année 2015 avait eu pour conséquence l'injonction d'une modification de la formation instructeur qui a abouti à la réforme de 2017. Avec le recul, je n'étais pas en charge, on aurait certainement dû se poser la question de la formation du pilote avant de se poser celle de l'instructeur. Mais il faut prendre conscience que la DGAC n'est pas ou plus ressource de pédagogie, la disparition du service de formation a fait perdre de l'expertise sur ce point. D'où l'importance d'un partenariat de qualité avec l'ENAC (que nous avons mis en place en 2018).
Je ne peux pas faire la liste des menaces qui ont pu peser sur cet équilibre mais elles sont nombreuses et souvent imprévisibles. J'ai en tant que président été auditionné deux fois dans le cadre d'une instruction judiciaire, à chaque fois il a fallu défendre l'ensemble. Notre partenariat avec le BEA est un élément déterminant qui rend notre approche crédible. Au fond, le sujet sécurité est avant tout un sujet formation avec le ''temps long'' que cela suppose alors même que le ''temps chaud'' des accidents appelle parfois des réponses immédiates. La délégation du théorique ULM, la refonte de la formation du pilote, le partenariat avec Aérogligli, la mise en place de l'opération REV, le partenariat avec l'ENAC, la parution à la fin de l'année d'un nouveau manuel fédéral sont les meilleurs gages de notre ''réglementation''.
Bien que connexe, le facteur de l'assurance est aussi décisif. Nous parvenons à assurer nos ULM (en RC) pour le prix d'un scooter, dans le contexte actuel, c'est remarquable. Ceux qui ont de la mémoire savent aussi que le sujet assurance peut totalement entraver le développement de notre activité avec un mélange des genres très malsain. Il faut donc avoir la bonne distance et maintenir des relations de qualité avec nos partenaires pour ne pas que le sujet dérape. Si nous ne pouvons plus nous assurer, la réglementation ne nous sera d'aucun secours, elle risquera même d'évoluer dans le mauvais sens ! Les pilotes de classe 6 le constatent pour l'assurance-casse qui ne fait pas partie du contrat fédéral. On se rappelle aussi durant le COVID de la pusillanimité de certains qui ont voulu nous clouer au sol au titre soi-disant de l'assurance.
La cohérence d'une réglementation faite pour les pilotes
Le troisième enseignement tient à la cohérence et à la maturité de notre réglementation qui est maintenant bien reconnue. Elle est même au programme du BIA depuis 2015 ! Les principales modifications ont concerné la modification pragmatique de la masse règlementaire (525 kg max avec un parachute pour un biplace) en 2019 et l'ajout de la classe 6 en 2014. La réglementation de 1998 avait intégré les autogires et les ballons et durant les années 80, les paramoteurs ont rejoint les deux classes initiales (pendulaire et trois axes). Mais la philosophie générale de la réglementation n'a pas varié : système déclaratif basé sur la responsabilité, limitation de la masse et de la vitesse de décrochage (à partir de 98, la réglementation antérieure était basée sur la charge alaire), biplace et vol VFR.
Dans cette enveloppe, l'ULM représente à peu près tout ce qui vole : voilure fixe, souple et tournante, aérodyne et aérostat. Il y a environ 12 000 machines identifiées en France actuellement sous ce régime. Chaque classe a apporté une innovation, un nouvel usage, sans ''cannibaliser'' une pratique existante. Nous avons des constructeurs français et étrangers remarquables, souvent présents depuis l'origine de notre mouvement. Certains ULM ressemblent certes à des avions mais ils n'en sont pas. Leur conception, leur usage sont différents. Le président de la FFA Jean-Luc Charron a bien montré dans un édito récent que le véritable frein au développement de l'avion est la certification. On voit par exemple comment l'installation du parachute de secours (qui vient du vol libre) devient complexe, voire impossible dans le cas de l'avion électrique, dans le monde de la certification.
Les deux principales sources de ''schismes'' dans ce cadre étaient liés au paramoteur d'une part et à ce que l'on qualifie (sans vraiment pouvoir les définir) les ULM performants.
Concernant les paramoteurs, l'obstacle du théorique ULM (dont les questions étaient souvent très orientées avion lorsqu'il était de la compétence de la DGAC) a été résolu dans le cadre de la délégation (cette année 2000 sessions ont été passées). Les paramotoristes représentent presque 25 % de nos licenciés en apportant une dynamique qui profite à tous. Inversement il est parfaitement illusoire de penser qu'une totale déréglementation amènerait plus de liberté. Ce serait le moyen le plus sûr de nous clouer au sol sur l'injonction d'un préfet par exemple. Certains accidents récents ont failli remettre en cause la réglementation paramoteur dans son ensemble et c'est bien la cohérence de la famille de l'ULM qui assure la pérennité de la pratique. De surcroît beaucoup des licenciés ont une double pratique et nos champions portent très haut les couleurs de l'ULM (pas seulement en paramoteur). Je suis très fier de pouvoir annoncer que la patrouille paramoteur fera le vol inaugural de salon de la Ferté-Alais.
Concernant les ULM ''performants'', sujet récurrent et arlésienne de notre pratique, il faut faire le double constat que le sujet de la performance est souvent au final celui de la masse, ce qui revient à la discussion initiale, il faut aussi avoir en tête que les accidents n'ont pas plus d'occurrence pour un type de machines plus qu'une autre. Il faut aussi ôter de l'esprit cette représentation idéalisée des débuts, car pour à peine 4 000 pratiquants dans les années 80, il y avait en proportion beaucoup plus d'accidents qu'aujourd'hui. Notre activité est donc devenue plus sûre dans le temps, en particulier depuis 1998 et la nouvelle structuration de la Fédération et de sa relation avec les tutelles.
Il serait donc très dangereux de vouloir déstabiliser cet ensemble, a fortiori dans un contexte difficile pour l'aéronautique et l'ensemble des acteurs. Le diable se niche souvent dans le détail et le mieux est l'ennemi du bien. Notre réglementation n'est pas parfaite mais elle a le mérite d'avoir fait ses preuves et de satisfaire la très large majorité des pilotes et des constructeurs. Sur ce dernier point, c'est une très bonne chose que notre réglementation serve de nourrice à de nouvelles technologies pour des constructeurs souvent extérieurs à notre pratique mais cela ne leur donne aucune légitimité particulière pour faire évoluer nos règles dans un système qui leur serait plus favorable. Surtout pour des machines valant plusieurs centaines de milliers d'euros et dont la place est marginale dans notre activité.
Une fédération et des partenariats forts
Le quatrième et dernier enseignement pour préserver notre réglementation dépend directement de la ''santé'' de notre Fédération. Nous avons des pratiques, des clubs, des sociétés, des terrains très variés bien plus que les autres pratiques aéronautiques. Sans compter que nos domaines sont tout de même très techniques et que notre mouvement n'a jamais manqué de fortes personnalités. Avec Dominique Méreuze puis sans lui, nous nous sommes efforcés de rendre nos fédérations plus fortes et crédibles, plus autonomes aussi dans leurs moyens d'agir. Cela suppose tout d'abord une bonne dynamique des licences, ce qui n'est jamais acquis surtout dans le contexte actuel mais aussi des partenariats forts.
Nos deux tutelles ont parfaitement intégré cette histoire, qu'il faut souvent rappeler sur la spécificité du médical par exemple et sur les contraintes liées aux vols payants. Nous avons réussi à faire avec le temps que nos deux tutelles échangent sur notre pratique. Il reste que l'État est souverain et que rien n'empêche d'évoluer dans une toute autre direction. Nous avons la chance d'avoir une puissance publique investie sur l'aviation de loisir. Il faut maintenir un bon équilibre, prendre notre indépendance sur certains sujets sans pour autant prendre en charge toute l'activité. Le modèle allemand du DULV qui gère l'ensemble de la pratique, dont la certification, a pour effet d'augmenter le niveau de certification sur un modèle totalement privé. Il ne faut pas croire que la bureaucratie et la norme ne sont que le fait de la puissance publique.
Avec le temps nous avons su trouver aussi des relations constructives avec les autres fédérations réunies au sein du CNFAS. Dans la défense de l'aviation de loisir, les sujets qui nous unissent (les espaces aériens, les terrains, etc.) sont plus forts que les différences de nos pratiques qui ne font plus vraiment débat. Au sein de la FFA, il y a plus de 400 ULM qui sont affiliés à la Fédération en intégrant la culture ULM au sein de structure certifiée, nos relations avec la FFVL sur le statut du paramoteur ne font l'objet d'aucune difficulté et nous avons par ailleurs des relations très positives (sur la sécurité par exemple), nos amis du ballon travaillent avec nous sur la classe 5, la FFG a vu d'un bon œil l'apparition de la classe 6 avec une centaine de machines, de longue date le RSA a une culture commune forte avec l'ULM et nous avons de nombreuses actions communes, la FFVP a eu une utilisation des ULM en remorquage (à laquelle nous n'étions pas favorables au début) qui a fini par trouver un cadre d'utilisation qui sert tout le monde, nos amis du modélisme seront partenaires sur la prochaine édition du MULM.
Dans cet écosystème favorable, il faut déplorer la disparition de la presse spécialisée et en particulier de la revue Vol Moteur qui a accompagné notre pratique depuis le début. La personnalité et les compétences de René Coulon ou celle de Philippe Tisserant ont grandement contribué à créer une expertise commune sur notre pratique. Leur rôle a été décisif dans la relation entre constructeurs, tutelle et fédération. La presse papier qui demeure est souvent très orientée avion avec une sensibilité nouvelle à l'ULM à coup sûr mais qui penche souvent du côté du trois axes et du 600 kg tout de même. Aérobuzz est la principale référence de l'expertise aujourd'hui. Quant aux réseaux sociaux, on ne peut pas dire qu'ils soient le lieu où s'élaborent le compromis et la nuance.
Et la suite ?
En conclusion, je serai tenté de dire : ne touchons surtout pas à notre réglementation dans le contexte incertain actuel !
Concernant une hypothétique classe 7 multi-rotor soutenue par certains, il ne faut avoir aucun a priori mais concrètement, nous n'avons aucun recul sur des machines qui ressembleront plus à des drones qu'à des ULM, pour des consommateurs usagés plus que pour des pilotes et où les constructeurs imposeront leur norme sans se soucier de notre histoire et où les parapluies juridiques fleuriront de toute part. On voit à quel point le projet de taxi urbain drone pour les JO est incertain. Il ne faut pas jouer les apprentis sorciers sur des beaux jouets qui seront chers et qui ne répondent pas à la famille des pilotes actuels.
Monter en l'état la limite des 600 kg serait une erreur pour tout le monde. En revanche, il reste un créneau pour le non certifié entre le 525 kg et le 600 kg. On peut certainement envisager une réglementation spécifique, ségréguée de la nôtre plafonnée à 525 kg où les machines innovantes avec des contraintes techniques de poids spécifique (batteries par exemple) pourraient trouver un espace de développement. Il faudrait alors envisager des spécificités pour la formation des pilotes, le suivi des machines, l'accès au terrain ULM par exemple. Soyons cependant très prudents sur ce sujet et ne touchons pas un système éprouvé qui satisfait la plus grande majorité.
Ce qui est certain, c'est que ce qui nous fédère le plus, c'est certainement cet attachement à notre réglementation que nous avons introduite dans l'article 1 de nos statuts. C'est notre trésor commun, au-delà des différences de pratiques ou de nos motivations dans l'ULM.
C'est bien français de se plaindre des systèmes que les autres nous envient ! Nous pouvons améliorer plein de choses mais préservons la maison commune !
Sébastien PERROT
Président de la FFPLUM
MULM 2024 ; une très belle édition ! | | | septembre 2024 |
|
Les Fédérations Sportives et... l'ULM | | | juillet 2024 |
|
Championnats de France à Levroux : diversité et excellence ! | | | juin 2024 |
|
La sobriété, c'est avant tout la légèreté ! | | | mai 2024 |
|
L'ULM-PRO : pour ou contre ? | | | avril 2024 |
|
Nos choix réglementaires | | | mars 2024 |
|
Le bilan des actions formation | | | janvier 2024 |
|
Vigilants et confiants | | | octobre 2023 |
|
On a tous de ''l'ULM'' à partager ! | | | août 2023 |
|
L'ULM libre et généreux | | | juillet 2023 |
|
ULM-Info nouvelle formule | pdf | | mars 2023 |
|
Le CNFTE continue plus que jamais ! | | | novembre 2022 |
|
Tirer les marrons du feu | | | octobre 2022 |
|
Mondial de l'ULM 2022 : un air de liberté | | | septembre 2022 |
|
ULM : ''basique, simple'' | | | juillet 2022 |
|
Promouvoir l’ULM ici et ailleurs ! | | | mai 2022 |
|
La diversité des ULM et de nos machines | | | avril 2022 |
|
ULM à 600 kg ? Non ! 200 % ULM ? Oui ! | | | février 2022 |
|
ExamULM : une formation simplifiée et plus accessible | | | janvier 2022 |
|
Encadrer l'ULM ou libérer le GIPAG ? | | | décembre 2021 |
|
Bienvenue au Mondial de l’ULM | | | août 2021 |
|
Mondial de l'ULM 2021 et crise sanitaire : soyons confiants ! | | | juillet 2021 |
|
Les règles du jeu | | | juin 2021 |
|
Aides renforcées pour les ''instructeurs club'' | | | mai 2021 |
|
Vivement 2021 ! Plus que jamais ULM ! | | | janvier 2021 |
|
Comparons ce qui est comparable ! | | | décembre 2020 |
|
Le point sur l’actualité du confinement | | | novembre 2020 |
|
Médias et presse : Répliques | | | octobre 2020 |
|
Quelle DNC Baptême ? | | | septembre 2020 |
|
Charlaine : une personnalité fédératrice | | | août 2020 |
|
Embarquons ensemble ! | | | juillet 2020 |
|
|
Un déconfinement très progressif... | | | mai 2020 |
|
Quand nous revolerons ! | | | avril 2020 |
|
|
|
La sécurité des vols, la formation et la lutte des classes | | | janvier 2020 |
|
La Fédération roule pour ses licenciés ! | | | décembre 2019 |
|
La France préside l'EMF | | | octobre 2019 |
|
Fête des Sports Aériens | | | avril 2019 |
|
Une aviation sportive et de loisir... accessible ! | | | février 2019 |
|
Ensemble, préparons 2019 ! | | | décembre 2018 |
|
L'ULM à la Française
| | | août 2018 |
|
Sécurité et Formation : une bonne tendance
| | | juin 2018 |
|
L'ULM à partager !
| | | mai 2018 |
|
L'ULM par l'ULM
| | | avril 2018 |
|
Remise en vol, c’est parti ! | | | mars 2018 |
|
Réglementation ULM : le calendrier se précise | | | février 2018 |
|
Réforme IULM, au travail ! | pdf | | janvier 2018 |
|
Faites un REV (remise en vol) | pdf | | décembre 2017 |
|
Fin de partie ? | pdf | | novembre 2017 |
|
Devenez expert sur votre ULM ! | pdf | | septembre 2017 |
|
|
Notre ''culture sécurité'' | pdf | | juillet 2017 |
|
|
Le temps de élections et celui du travail ! | pdf | | mai 2017 |
|
Génération (s) ULM | | | mars 2017 |
|
Les limites de l'acceptable | | | février 2017 |
|
|
Radio : la preuve par les faits | | | décembre 2016 |
|
La belle vadrouille | | | novembre 2016 |
|
Longue vie au Sky Ranger | | | octobre 2016 |
|
Histoires de poids | | | septembre 2016 |
|
Le temps de la découverte | | | août 2016 |
|
Enfin les beaux jours ! | | | juillet 2016 |
|
Le doux chant des sirènes... | | | juin 2016 |
|
L'ULM plus que jamais ! | | | mai 2016 |
|
Les beaux jours sont en vue ! | | | avril 2016 |
|
Les points sur les ''i'' | | | mars 2016 |
|
Responsable ? | | | février 2016 |
|
Esprit... ULM, es-tu là ? | | | janvier 2016 |
|
Une année éprouvante... | | | décembre 2015 |
|
|
Le prix de notre liberté | | | octobre 2015 |
|
Tour 2015 : en l'honneur de Dominique | | | septembre 2015 |
|
Passez en vigilance ''renforcée'' | | | août 2015 |
|
Si tu savais combien nous t'aimions ! | | | juillet 2015 |
|
Qui annonce l'été et ses ''Grandes Manifestations Aériennes'' ! | | | juin 2015 |
|
Le printemps revient... Les accidents aussi ! | | | mai 2015 |
|
CNFAS : C'est QUI, c'est QUOI ? | | | avril 2015 |
|
Le poids des mots ! | | | mars 2015 |
|
Le Froid et le Chaud ! | | | février 2015 |
|
Mais de QUI se moque-t-on ? | | | janvier 2015 |
|
ULM 2014 : Le bilan | | | décembre 2014 |
|
Merci Didier ! | | | novembre 2014 |
|
Conservatisme ou Modernisme ? | | | octobre 2014 |
|
Une rentrée studieuse ! | | | septembre 2014 |
|
Blois ... encore et toujours ! | | | août 2014 |
|
Ça fait du bien ! | | | juillet 2014 |
|
Vannes... et aussi les autres ! | | | juin 2014 |
|
L'ULM... le progrès en marche (en vol) ! | | | mai 2014 |
|
Allons vers eux ! | | | avril 2014 |
|
|
Plus de pouvoir aux Comités Régionaux ? | | | février 2014 |
|
Encourageons nos jeunes... à ''voler'' ! | | | janvier 2014 |
|
2013/2014… une année chasse l'autre ! | | | décembre 2013 |
|
La leçon politique de BLOIS 2013 ! | | | novembre 2013 |
|
Quelle faille ? | | | octobre 2013 |
|
Ambassadeurs de l'ULM | | | septembre 2013 |
|
Allons à Blois ! | | | août 2013 |
|
Festival de Vannes : la fortune a souri aux audacieux ! | | | juillet 2013 |
|
La Classe 6 : une affaire qui ''tourne'' ! | | | juin 2013 |
|
2013/2017, le Cap est affiché ! | | | mai 2013 |
|
Je m'envolerai vers les hauteurs ! | | | avril 2013 |
|
Quel devenir pour ''l'imprévisible'' ? | | | mars 2013 |
|
Nous ne pourrons pas avancer les uns sans les autres ! | | | février 2013 |
|
Sécurité... ''LE'' Maître mot ! | | | janvier 2013 |
|
Annexe II du Règlement européen 216/2008 et son avenir
Cette Annexe II du règlement européen fait couler beaucoup d'encre et beaucoup de salive. Pour faire simple, elle énumère les catégories d'avions et d'hélicoptères qui, en fonction de caractéristiques spécifiques, échappent à la réglementation communautaire édictée par l'Agence Européenne pour la...
|
Dura Lex, sed Lex | | | novembre 2012 |
|
ULM : abus et détournement de pouvoir de Mr. l'ex-Préfet de Gironde ? | | | octobre 2012 |
|
L'ULM, Aviation des villes... Aviation des champs ! | | | septembre 2012 |
|
Blois : ''NOTRE'' rassemblement ! | | | août 2012 |
|
Une certaine conception de la vie ! | | | juillet 2012 |
|
Bienvenue à Basse-Ham ! | | | juin 2012 |
|
Le ''décrochage'' ! | | | mai 2012 |
|
|
ASSEMBLÉES GÉNÉRALES : POURQUOI ? | | | mars 2012 |
|
We can do it ! * | | | février 2012 |
|
Quels sont les vrais dangers ? | | | janvier 2012 |
|
REX... encore et toujours ! | | | décembre 2011 |
|
Nos champions ! | | | novembre 2011 |
|
Que sont devenus nos fondamentaux ? | | | octobre 2011 |
|
Le patrimoine | | | septembre 2011 |
|
Blois 2011, rassemblement de l'Ultra-Léger ! | | | août 2011 |
|
Le Président aux champs ! | | | juillet 2011 |
|
Interdit ! Interdit ! | | | juin 2011 |
|
Nous sommes tous concernés | | | mai 2011 |
|
Faut-il en rire ou faut-il en pleurer ? | | | avril 2011 |
|
De la ''Démocratie'' au sein de nos Associations... | | | mars 2011 |
|
La ''Sécurité'' comme objectif ! | | | février 2011 |
|
Vigilance...Vigilance ! | | | janvier 2011 |
|
Tous ensemble ! | | | décembre 2010 |
|
A chacun selon ses goûts et... ses moyens ! | | | novembre 2010 |
|
Les cinq ''P'' !
| | | octobre 2010 |
|
Et voici la rentrée fédérale ! | | | septembre 2010 |
|
|
Mais à quoi servent donc nos aérodromes ? | | | juillet 2010 |
|
Au paradis des "PARAMOTEURS" ! | | | juin 2010 |
|
Existe-t-il deux sortes de mesures ''sûreté'' ? | | | mai 2010 |
|
Le bout du tunnel ! Vraiment ? | | | avril 2010 |
|
Pourquoi ne nous aiment-ils pas ? | | | mars 2010 |
|
AMOUREUX DE... LIBERTÉ ! | | | février 2010 |
|
L'ULM : quelle richesse ! | | | janvier 2010 |
|
Vous avez dit CRISA ? | | | décembre 2009 |
|
La lumière au bout du tunnel ? | | | novembre 2009 |
|
Rien n'est décidé... mais tout est possible ! | | | octobre 2009 |
|
Tendance suicidaire ? | | | septembre 2009 |
|
BLOIS 2009 : Quelle tendance ? | | | août 2009 |
|
Willkomen ! (Bienvenue) | | | juillet 2009 |
|
Montrons... mais montrez aussi l'exemple ! | | | juin 2009 |
|
L'ULM, un état d'esprit : Solidarité - Responsabilité - Liberté | | | mai 2009 |
|
On vous l'avait bien dit ! | | | avril 2009 |
|
|
Bénévolat, quel équilibre ? | | | février 2009 |
|
Courage à « nous », courage à « tous », courage à « nous tous » ! | | | janvier 2009 |
|
Interception, identification... et stress ! | pdf | | décembre 2008 |
|
De la Démocratie en Amérique* ! | pdf | | novembre 2008 |
|
Alors, heureux ? | pdf | | octobre 2008 |
|
Joël, Manuel... | pdf | | septembre 2008 |
|
Go To... BLOIS ! | pdf | | août 2008 |
|
Est-ce utile de l’écrire ? | pdf | | juillet 2008 |
|
Alerte Cambriolages : Suite ! | pdf | | juin 2008 |
|
Les conseilleurs... | pdf | | mai 2008 |
|
Sa valise... ! | pdf | | avril 2008 |
|
Une balle dans le pied ! | pdf | | mars 2008 |
|
Contre les VOLS ! | pdf | | février 2008 |
|
2008 : Un bon début ! | pdf | | janvier 2008 |
|
Il y a ceux qui... | pdf | | décembre 2007 |
|
Je radote... mais... | pdf | | novembre 2007 |
|
Tout est possible ! | pdf | | octobre 2007 |
|
TOUR ULM 2007 : ils ont été bons partout ! | | | septembre 2007 |
|
Tous à BLOIS ! | pdf | | août 2007 |
|
Emerveillement ! | pdf | | juillet 2007 |
|
Re-Fayence : Mauvaise foi, incompétence ou bêtise ? | pdf | | juin 2007 |
|
Pensons-nous assez à nos passagers ? | pdf | | mai 2007 |
|
Séquence émotion ! | pdf | | avril 2007 |
|
Fayence : l’Aérodrome de la honte ! | | | mars 2007 |
|
2006, 2007... Avec force et détermination ! | | | février 2007 |
|
La bonne résolution ! | | | janvier 2007 |
|