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![](img/bam/porte_avion/13.jpg) Une demi journée de boulot et vingt baguettes de soudure plus tard, le porte-avion est opérationnel.
Construire un porte-avion
Le Clémenceau de Beauce
Accès rapides
![](img/bam/porte_avion/14.jpg) Les rampes en tôle de 2 mm formées à la presse sont reliées entre elles et articulées sur le nouveau châssis. Les dimensions sont prévues pour accueillir la plupart des ULM, et notamment Guépy, Guépard et consort : voie de 1,90 m, empattement de 1,40 m. Pour d'autres appareils, il suffira de tronçonner les raidisseurs et ressouder plus court ou plus long. Rien d'infaisable.
![](img/bam/porte_avion/15.jpg) Par défaut les rampes reposent sur le sol. C'est le poids de l'ULM qui les fait basculer en position horizontale. On ne dirait pas à voir cette structure aérienne que l'ensemble est très rigide malgré la charge de l'ULM.
![](img/bam/porte_avion/16.jpg) L'articulation est très simple : deux tubes concentriques, l'un soudé aux rampes, l'autre boulonné au châssis.
![](img/bam/porte_avion/17.jpg) Trois sangles et deux cales garantissent l'immobilisation du Guépy. On peut ainsi déplacer l'ULM en crabe et sans effort.
![](img/bam/porte_avion/18.jpg) Monter le Guépy sur les rampes inclinées à 15° n'est pas insurmontable. Toutefois un treuil à manivelle pourrait éviter d'inutiles efforts. Cela fera une occasion d'y revenir ultérieurement.
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