logo ULMaG www.ulmtechnologie-shop.com
Edito avril 2024
177 articles .......... anciens éditos


vignette
ULM : la serpillière des profiteurs (partie 1)

Dans l'organisation d'une société, il y a :
- ceux qui créent le système,
- ceux qui alimentent le système,
- ceux qui vivent avec le système,
- ceux qui profitent du système,
- ceux qui dévoient le système.

Prenons l'exemple de notre vie en société occidentale : assurance chômage, sécurité sociale, allocations familiales, retraite, congés ont été imaginés - non pas pour anéantir le malheur, c'est impossible - mais pour donner un peu d'unité à la société, en amortir les inégalités. C'était une vision altruiste du groupe, visant vers une possible harmonie.

Bien sûr qu'en pratique, chacun a cherché son avantage propre, usant et abusant des biais faciles, poussant l'égoïsme jusqu'à ce que tout se casse la gueule, ce qui est objectivement le cas actuellement.

C'est ainsi. La nature humaine est telle que les maternités ne produisent que quelques individus honorables, et des cohortes de feignasses, inutiles, immorales et délétères.

Et je crois qu'aucune part de notre monde n'échappe à cette règle. Prêtres pédophiles ; politiciens corrompus ; révolutionnaires sanguinaires ; enseignants wokes ; médecins des labos ; simples citoyens individualistes, calculateurs, profiteurs ou mauvais... Y'a qu'à regarder une foule pour contempler la palette de tous les défauts de notre espèce.

Avoir la faculté de comprendre cela, c'est déjà prendre un certain recul et peut-être s'écarter du modèle vicié.

C'est également s'écarter des guildes de circonstance, des confréries consensuelles... bref de l'enrichissement et du pouvoir.

Aussi le peuple a-t-il pris pour habitude de nommer simplement les choses : braves gens pour les gens braves, et trous de culs pour les autres (ou merdeux, salopiaux, minables...).

Bien sûr, notre discipline n'échappe en rien à la description de cette société pluri-putride.

Pour ce premier opus traitant des parasites tombés dans l'ULM par pur intérêt, sans considération pour le mouvement, ni ses acteurs, je citerai la société Beyond Aero, française comme son nom ne l'indique pas, créée en 2020.

Beyond Aero est la contraction de Beyond Aerospace (source : annuaire entreprises .gouv). Manque de bol, si vous cherchez cette enseigne sur un moteur du web, vous ne trouverez qu'une société ricaine qui vend également du vent, mais sur support informatique.

Après quelques recherches apparaît le site internet Beyond Aero, tout en anglais parce que c'est plus smart que du vulgaire franchouille. Puis vu la finalité du concept, le sandwich est préférable, puisqu'on annonce à grand renfort de conférences que sont signés plus de 616 millions de dollars de lettres d'intérêt.

Bah... après tout, why not ? J'ai bien promis à mon chien 3 milliards de croquettes s'il arrive à calculer la courbe planaire d'une dimension fractale.

Of course, tu dois être connecté haut débit pour ouvrir les pages du site. Sur mon ordi rural, la lecture ADSL se fait au fil de longs chargements, sur fond noir ultra chébran. Mais c'est pas grave ; là où on s'intéresse au flux H², c'est près des serveurs, de la 5G et des tours de refroidissement. Chez bibi et les ploucs hasbeen de l'équitonneau, on a le porte-voix et le tracteur pour communiquer.

Cahin-caha, je surfe sur mon radeau et je trouve le lien ultime : ''discover our business aircraft'' (découvrez nos avions d'affaire).

Tu parles d'une secousse ! On va découvrir l'avion du futur...

Alors clic fébrile, attente interminable, préparage d'un café, versage en tasse dudit café, sucrage, touillage et... encore un instant... Yep ! Page noire avec ONE : First electric business aircraft designed for hydrogen propulsion (premier avion d'affaires électrique conçu pour la propulsion à hydrogène).

Z'ont bien fait d'ajouter ''business'', parce que pour la culture du commun des startuppers, l'ancien champion du monde de deltaplane Gérard Thevenot a traversé la Manche le 6 août 2009 à bord d'un pendulaire électrique alimenté par une pile à combustible hydrogène. Il a même gratifié les spectateurs du salon de Blois d'une démonstration de vol à l'eau cette année là.

La page de découverte dudit ONE super génial moderne écolo ne montre qu'un croquis et donne quelques infos parcellaires parfaitement pas crédibles, car manquant totalement de référence. Ainsi lit-on 800 kW, sans précision sur ce à quoi correspond cette puissance (nommée efficacité dans le texte) ou encore 1,4 mW (mégawatt = million de watts) de puissance installée des piles à combustible...

Des chiffres, indémontrables pour la plupart ; des visages de jeunes gens très diplômés en plein de disciplines reluisantes, des centaines de millions de dollars de lettres d'intérêt (ici on cause business, donc dollar... l'euro, c'est bon pour les ploucs, même si in fine c'est ça qu'on va quémander).

Mais au fait, que montre Beyond Aero ?

Où est l'oiseau magnifique aux ailes si gracieuses qu'un aigle s'est suicidé de n'être pas aussi majestueux ?

Bah... dans un hangar de Gap, ou ailleurs... mais à l'état larvaire, embryonnaire.

A ce jour, Beyond Aero a fait voler un G1 SPYL-XL de G1 Aviation, ULM métallique français de bonne réputation avec une chaîne propulsive hydrogène composée de trois grosses bouteilles d'hydrogène gazeux de 19 kg chacune, d'une pile à combustible à hydrogène, de 5 grosses batteries, le tout entraînant un moteur électrique d'une puissance maximale de 58 kW. Ce démonstrateur ''Blériot'' est alimenté par 1,2 kg d'hydrogène gazeux stocké dans trois réservoirs comprimées à 340 bars, générant un équivalent puissance électrique de 85 kW (45 kW H2 + 40 kW batteries).

Le pilote d'essai Paul Prudent et l'équipe de Beyond Aero ont validé une campagne d'essais en vol complète dans le ciel haut-alpin, avec 10 décollages dont 2 vols complets, avec un ratio d'hybridation de ⅔ d'hydrogène gazeux pour ⅓ de batteries.

Pour résumer, 35 ingénieurs ont réussi à mettre en l'air une enclume monoplace de 80 ch pesant 600 kg.

Mais fort de cette imposture, on peut annoncer à la cantonade qu'on fait voler des avions à hydrogène !

Pour en finalité rendre plus aisée la pêche aux capitaux. On connaît la combine, vieille comme l'arnaque aux subventions, ou à défaut comme les rêves coûteux des inventeurs éphémères.

La lettre d'intérêt est l'articulation d'un coup de billard à deux bandes. L'idée est de réaliser une levée de fonds indirecte en se basant sur la publicité engendrée par l'intérêt d'entités potentiellement clientes du demandeur.

Le principe est que personne ne prenne de risque : ni le demandeur, ni sa caution potentielle.

Vous avez une idée possiblement juteuse ; par exemple un extracteur de pépins de pomme. Vous allez voir un fabriquant de compote et lui dites : ''si mon machin fonctionne, voulez-vous m'en acheter ?''.

Cela n'engage en rien Maître compotier de signer un accord. Que risque-t-il ? Si le machin est bien, il l'achètera et sera gagnant, et si le machin est merdique ou n'existe pas, il ne l'achètera pas et ne perdra rien.

Et vous non plus du reste.

Mais fort de la promesse d'achat - la lettre d'intérêt - qu'on évalue au potentiel de ventes en cas de réussite, on valorise artificiellement un produit inexistant.

Il est donc beaucoup plus confortable ensuite d'aller voir un investisseur, une pépinière d'entreprise, un conseil régional, une multinationale ou un état, pour taper des pépettes.

Imaginez le truc... ''bonjour la grosse commission de Buxellesselle ! J'ai 616 millions de dollars de commande en cours, mais j'ai pas les euros pour lancer la fabrication de ma bouilloire atomique''.

Quelle institution serait assez fragmentée du bulbe pour ne pas s'associer à un tel marché, offrant de surcroît une hypothétique garantie de couverture et de possibles et multiples retombées.

On entre dès lors dans le domaine de l'abondement.

Le principe de l'abondement, c'est que le prêteur de blé est baisé au premier centime qu'il lâche.

Parce qu'il est comptable d'une expertise dans ses décisions, s'il a prêté 1 million de piastres, il a deux options lorsqu'on lui demande 1 million supplémentaire :
- refuser de cracher, et ainsi perdre son premier million, sa crédibilité (choix hasardeux) et accessoirement la face,
- ou continuer l'abondement (puis encore et encore) pour conserver sa place au rang des gens importants qui prennent des risques (avec le fric des autres, notamment des contribuables).

Ce qui peut se résumer ainsi : mieux vaut cracher au bassinet et laisser entrevoir qu'on est le roi des cons, plutôt que d'abandonner la partie et ne laisser aucun doute à ce sujet !

Voilà pourquoi il est si facile de prendre du blé aux institutions et ainsi de participer à la gabegie frénétique très en vogue actuellement : un démonstrateur tout pourri, une vitrine qui fait illusion, un discours bien rodé, de l'ambition, aucune honte, aucun respect pour la collectivité, zéro amour propre, une âme pourrie, avec bien sûr la certitude de ne jamais avoir à rendre de comptes.

Car tout ceci est légal. Bidon, moche, dégueulasse, mais légal.

Personnellement, je me tape que Pierre, Paul ou Eloa braque les capitaux publics de commissions bidons incapables de différencier une pile à hydrogène d'une batterie R6 au mercure. Nous avons laissé des cons nous diriger, c'est notre punition pour avoir été imprudents.

Ce qui me courrouce en douce et pas qu'un peu, c'est qu'on utilise une fois encore un ULM pour démontrer de grosses conneries de théories physiques à la mord moi le nœud. Bien sûr que cet avion ONE ne verra jamais le jour parce qu'il est bidon d'un bout à l'autre.

Que 35 ingénieurs y croient seraient grave, mais pas déconnant au regard du niveau d'inculture et de médiocrité des jeunes forces intellectuelles de la nation.

Mais il me paraît plus concevable qu'une poignée, peut-être trois d'entre-eux se soient concertés pour persuader les autres d'une invention révolutionnaire, avec le cynisme et la détermination de réaliser un énième braquage.

Parce que dans un autre registre et tant qu'à se foutre du monde version 5.0, le démonstrateur à propulsion électrique distribuée de Clean Sky Industrie a au moins la vertu de ne pas prendre en otage une discipline réelle.

De quoi cause-t-on, tontaine et tonton ?

D'un SFD (Scaled Flight Demonstrator), version réduite d'un avion de ligne, d'une envergure de 4 mètres et sensé reproduire ''à l'échelle'' le vol et les performances d'un véritable avion de ligne électrique. Mû par 6 moteurs électriques, cette maquette de 160 kg a réalisé un vol de 10 minutes, portant au paroxysme d'un orgasme postillonnant les tenants de cordons d'une bourse percée, éparpillant les deniers de l'ONERA (office national d'études et de recherches aérospatiales français), d'Airbus, du NLR (centre de recherche aérospatial néerlandais), du CIRA (centre de recherche aérospatial italien), de l'université technologique de Delft, d'Orange Aerospace...

Bref le fric de l'Europe, donc le nôtre, notre bien commun.

Mais au moins, on n'utilise pas l'ULM et son couvert fédéral pour valoriser une arnaque.

Parce qu'arnaque il y a ; chacun le sait, une maquette de 4 mètres n'a et n'aura rien à voir avec un avion de 200 tonnes. Seuls des énarques bien déconnectés (euphémisme) peuvent croire de telles bêtises.

Et de toute manière la démonstration du vol électrique léger a été déjà brillamment faite par un Cricri électrique privé motorisé par Electravia en 2015 et une traversée de la Manche, devançant le coûteux démonstrateur E-Fan d'Airbus qui n'a pas fait mieux et l'a fait plus tard avec une débauche de pognon européen.

Le reste, les avions lourds, ne sont que des dahus pour technocrates en mal d'aventures épiques.

Les profiteurs ne sont pas ceux qui décident ; les profiteurs utilisent à leur profit la bêtise des décideurs. Mais peut-on réellement reprocher à un malin d'être plus malin qu'un idiot ?

Bons vols, en souplesse et en sécurité.

Miguel Horville


Le G1 SPYL-XL de démonstration nommé Blériot est un prototype monoplace d'environ 600 kg. Le pilote Paul Prudent l'a tenu quelques minutes en l'air ; un vol réalisé avec le concours des batteries embarquées. Outre les dires du staff, rien ne démontre que la pile à hydrogène ait apporté l'énergie nécessaire durant ce vol.


ANCIENS EDITOS
A force de faire n'importe quoi...
octobre 2024
Somme-nous semblables ?
septembre 2024
ULM : les paillassons volants (partie 2)
août 2024
ULM : la serpillière des profiteurs (partie 1)
avril 2024
Et la montagne accoucha d'une souris
mars 2024
Le client est-il roi ?
janvier 2024
Remise de gaz : y penser à deux fois !
décembre 2023
Cachez cet objet volant télépiloté que je ne saurais voir
octobre 2023
Blois 2023 : l'audace et la persévérance
septembre 2023
Et s'il y avait moyen de ne pas disparaître ?
juillet 2023
Un constructeur qui se fout bien du monde
juin 2023
Quand sonne l'heure
avril 2023
Situations conflictuelles
mars 2023
Le coup du marteau sur la tong
février 2023
Mon curé chez les ulmistes
janvier 2023
Les complices
décembre 2022
Quand les clubs nous font voler
octobre 2022
Fin de cycle sur tapis rouge
septembre 2022
Quand l'intégrisme vert vire au kaki
août 2022
Les règles et ce qu'on en fait
juillet 2022
Grand pouvoir et irresponsabilité
juin 2022
Un martien, sinon rien...
avril 2022
Et si on taxait l'indécence ?
mars 2022
Une lente descente vers le désenchantement
février 2022
Un ''sentiment'' d'augmentation...
janvier 2022
Histoire d'un voyage ordinaire extra
décembre 2021
MANEX pour OBL en OPS ULM
octobre 2021
MULM de la FFPLUM : une réussite !
septembre 2021
Du bal des timbrés aux joyeux suicidés
août 2021
Une idée féministe... l'ULM inclusif tendance woke sauce Fayence
juillet 2021
Une balle dans le pied... Une autre dans la tête !
juin 2021
Monopole, le chemin de la régression
mai 2021
La pilule de la veille
avril 2021
L'argent des autres
mars 2021
Comparaison n'est pas raison
février 2021
Fédérer, uniformiser... désunir
janvier 2021
De quoi j'me mêle ?
décembre 2020
Le diable se cache dans les petits caractères
novembre 2020
La cocorilose* en inaction
octobre 2020
J'ai perdu mon ombre... et bientôt ma liberté
septembre 2020
Punir les pilotes ; une idée citoyenne !
août 2020
Et Dieu créa la différence
juillet 2020
Bonne fête, mère Mozette
juin 2020
Vivre riche, sans modération
mai 2020
Histoire d'un rêve qui se termine
avril 2020
Le virus qui rend tout fou
mars 2020
Ceux dont la vie vaut plus
février 2020
Les bonnes résolutions
janvier 2020
Les pendul' à l'heure
décembre 2019
Pour qui roule la fédé' ?
novembre 2019
Qualif' radio : le début du renoncement
octobre 2019
Cherche ULM désespérément
septembre 2019
De qui se moque-t-on ?
août 2019
Les spécialistes
juillet 2019
Le respect des hôtes, des autres
juin 2019
Métastases cherchent naïfs pour proliférer
mai 2019
Les nouveaux ULM...
avril 2019
Vend liberté : mise à un prix 300 000 euros !
mars 2019
Remplir les cases
février 2019
Générations éphémères
janvier 2019
Est-il urgent d'attendre ?
décembre 2018
Aérodrome avec supplément d'âme
novembre 2018
Promotions à débattre
octobre 2018
Victimes or not victimes ?
septembre 2018
La foire aux accessoires
août 2018
Esprit ULM... es-tu là ?
juillet 2018
Entre peu et pas, un état d'esprit
juin 2018
Espace Schengen, my ass...
mai 2018
Entêtement irresponsable
avril 2018
Du carburant frais pour voler ''safe''
mars 2018
Universalité ; diversité ; francophonie...
février 2018
ULM : aéronef sémantiquement indésirable
janvier 2018
Ce contexte qui brise le rêve ?
décembre 2017
Parler patois pas parler à toi ?
novembre 2017
From rustic to high-tech
octobre 2017
S'élever, se régaler, se déplacer...
septembre 2017
De l'impuissance à l'imposture
août 2017
Baliser entre les cônes
juillet 2017
ULM : le bal des hypocrites
juin 2017
Les marquis du narquois vous em... brassent
mai 2017
500 kg : et après ?
avril 2017
Il est si facile d'interdire
mars 2017
A quand les ZIP ?
février 2017
Spécialistes en herbe
janvier 2017
Légèreté
décembre 2016
Comprenez si vous pouvez
novembre 2016
Le ciel a bon dos
octobre 2016
Salon de Blois : les limites
septembre 2016
Les euro-cocus du 8.33
août 2016
Concepteurs amateurs
juillet 2016
Ce chien... un humain comme les autres
juin 2016
Fumisterie électrique
mai 2016
De l'économie au foutage de gueule
avril 2016
Ça va chier !
mars 2016
Presbyte cherche gros caractères
février 2016
Et après?
janvier 2016
Le prix du baril d'a-brut-i...
décembre 2015
Vol de nuit : le bal des hiboux
novembre 2015
Et si la sophistication tuait ?
octobre 2015
Victimes consentantes
septembre 2015
Le sentir... ou pas
août 2015
La saison des gamelles
juillet 2015
Qui osera ?
juin 2015
Un système qui nous échappe
mai 2015
Multicopters : vers une 7e classe ULM ?
avril 2015
Le cinquième élément : celui de trop
mars 2015
Vigipirate : entre psychose et laisser-aller
février 2015
Dans le brouillard de la schizophrénie
janvier 2015
Une furieuse envie de voler !
décembre 2014
Marques sulfureuses... attention patates chaudes !
novembre 2014
Ceux dont la vie vaut moins...
octobre 2014
Drones : la messe est dite
septembre 2014
Attention aux bagages
août 2014
Dieu ne connaît pas ma soeur !
juillet 2014
L'ultime décision ; question de choix
juin 2014
Le beurre, l'argent du beurre et le reste on s'en fout
mai 2014
Volez! : la fin d'une histoire
avril 2014
Nous irons tous au paradigme*
mars 2014
Histoire belge
février 2014
Transfert d'incompétence : le Noël des voyous
janvier 2014
Drones à toutes les sauces
décembre 2013
Sophistication simplifiée
novembre 2013
Histoires de discrimination
octobre 2013
Un cône, ça se respecte ou ça se fume
septembre 2013
Dommages collatéraux
août 2013
Voler n'est pas un caprice
juillet 2013
Profiter c'est bien : mériter c'est mieux
juin 2013
Rencontres avec des martiens
avril 2013
Les pommes tombent des arbres... Les bananes s'y accrochent !
mars 2013
La méritocratie des branleurs ; comment accélérer le déclin
février 2013
Occasion : qu'est-ce qui cloche au pays des ulmistes ?
janvier 2013
Problèmes d'entoilage X-Air : lumière en vue
décembre 2012
Total Access ou l'étonnant paradoxe d'un vampire au sourire d'ange
novembre 2012
Une tablet'... à tous prix !
octobre 2012
Sainte Sarah is watching you*
septembre 2012
Intérêts... Désintérêt ? Connivence ou naïveté ?
août 2012
Conflit de probité ou incompétence... le danger guette
juillet 2012
J'ai tombé, je m'ai fait mal, je m'ai relevé... ou pas
juin 2012
En mai, fais ce qu'il te plaît...
mai 2012
Le bruit flou de l'administration
avril 2012
Rotax 912 iS : une innovation qui se mérite
mars 2012
Ne sombrons pas dans la vulgarité
février 2012
Et quoi d'autre pour 2012 ?
janvier 2012
Voler, c'est voler
décembre 2011
Les limites ont été atteintes... et dépassées !
novembre 2011


Blades...
Le 22 octobre 2011, Angelo Bianchi est descendu d'un multiaxe moteur tournant. Ce faisant il a touché l'hélice. Grièvement blessé, il est décédé dans les heures qui ont suivi son transfert à l'hôpital. Cet accident terrible a suscité des réactions passionnées. Sans se substituer à l'enquête en cours et...

Les femmes, mères de tous les maux
septembre 2011
Le Tour ULM : une belle vitrine pour l'aéronautique
août 2011
Fausse-bonne idée cherche gogos... pour allonger l'oseille
juillet 2011
Du choix des mots et des propos
juin 2011
Basses couches en vert kaki
mai 2011
Ce facteur qui sonne toujours ... le glas
avril 2011
OUI... MAIS...
mars 2011
Des vautours planent sur nos ULM
février 2011
Restons éveillés
janvier 2011
Faisons un rêve
décembre 2010
Attention à la tâche d'huile...
novembre 2010
Mon royaume pour un bidon
octobre 2010
Genèse d'une Loi liberticide
septembre 2010
Aime le ciel, et le ciel t'aimera... peut-être
août 2010
Voler en Belgique... ou rouler
juillet 2010
Poule, oeuf et sophistication : la classe de plus, la classe de trop ?
juin 2010
Sous couvert d'anonymat
mai 2010
Taxe carbone : carbonisée
avril 2010
L'union fait notre force, notre salut
mars 2010
Le désespoir de ceux qui restent
février 2010
Bug de l'An 2000 : une simple répétition ?
janvier 2010
Migration : coucous désorientés
décembre 2009
La Chine s'éveille ; le monde s'endort
novembre 2009
Une crise... quelle crise ?
octobre 2009
Un parachute par amour, ou par respect
septembre 2009
Quand les pilotes dérapent...
août 2009
Quand les médias dérapent !
juillet 2009
A moi le ciel électronique !
juin 2009
A la gravité s'ajoute la connerie !
mai 2009
Etrange réglementation...
avril 2009
Inauguration
mars 2009

Webmaster : Fabrice Gay & MH - Rédacteur : Miguel Horville - ULMaG ©2008-2024
















page générée en 0,91 sec.