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Edito janvier 2017
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Spécialistes en herbe

L'heure est à la spécialisation. Spécialiste en domotique, pour ce qui concerne l'allumage automatique de la lampe du grenier où on ne fout jamais les pieds ; spécialiste en communication dont les messages alambiqués demeurent énigmatiques ; spécialiste en diététique dont les bouquins ne font maigrir que le porte-monnaie ou spécialiste en herboristerie pour ceux qui fument un peu trop la moquette... Des spécialistes, j'en rencontre à tous les coins de rues ; de toutes sortes ; de toutes disciplines. C'est nouveau... c'est branché.

Quand je m'informe sur le cursus à suivre pour devenir spécialiste, je n'ai qu'une réponse : bah... j'ai suivi un stage de spécialisation... Oui, mais avant ? Avant, j'étais chercheur. Ah bon ! chercheur en quoi ? Chercheur à l'Anpe !

Du coup, tout s'explique. Le spécialiste qui a coupé cette foutue poutre, faisant descendre ma toiture de plusieurs centimètres. De même, le spécialiste qui règle l'injection de ma bagnole par trois fois, avant que je découvre un fil coupé sous le moteur... Des putains de professionnels, ces gars. Diplômés du premier rang dans le dernier stage à la mode.

La spécialisation m'ennuie au plus haut point, quand elle dépend de compétences acquises suite à un stage ''qualifiant'' réalisé en quatre semaines.

Et par ailleurs, la spécialisation m'ennuie aussi, parce qu'être spécialiste signifie qu'on ne s'intéresse qu'à un domaine précis, faisant parfois, voire souvent, voire systématiquement abstraction de l'environnement dudit domaine.

Ainsi un pauvre diable d'ulmiste, propriétaire d'un multiaxe fané, a-t-il entrepris un reconditionnement de sa machine. Conscient de ses limites, il a choisi de s'adresser à un spécialiste pour tout ce qui concerne la motorisation et l'électricité. Dépose du berlingot et de la tuyauterie, révision, restauration du bâti fendu et remontage de l'ensemble après nettoyage et peinturlurage.

Spécialiste se dit, le gars... Il doit l'être, puisqu'il gère un atelier de maintenance aéronautique répondant aux exigences du règlement EASA numéro machin, annexe partie bidule, section chose, sous-partie truc, paragraphe trucmuche... Des références qui font de lui THE SPECIALIST.

Sauf que l'intervention sur l'ULM tourne mal. La soudure effectuée ne ressemble à rien. De plus la tuyauterie comme le faisceau électrique sont torturés... Mais cela, notre ami ulmiste ne le voit pas. Parce qu'il a payé les services d'un pro, il se dit que c'est ainsi que cela doit être.

Son problème, c'est une vibration quand il teste son moteur. Puis une odeur étrange... A part ça, l'ULM semble prêt à voler. Mais dans le doute, il en cause à un pote, lequel semble plus éveillé qu'un spécialiste aéronautique super qualifié. Il vérifie quelques serrages, dont celui de l'hélice. Bien joué... Cette dernière est en biais. Un insert mal engagé, le bois poinçonné, un tracking de folie...

Quant à l'odeur, elle provient de la peinture du bâti. L'échappement mal positionné l'a carbonisée. Et le pote ne s'arrête pas là ; il épluche la réparation et constate quelques anomalies ''pas très professionnelles''.

Le pote facturé est dépité ; il faudra une journée de boulot pour remettre son ULM en état. Les gars du club ne sont pas des pro's, seulement des copains avisés avec un peu de sens pratique et une certaine habitude de la maintenance. De plus, ils sont bénévoles.

Et que dire de câbles de gouvernes tendus à durcir le manche du DR400 du club où vole mon frangin ; des déchets organiques trouvés dans une prise d'air au sortir d'une GV sur ce même avion ?

D'où sortent ces spécialistes super qualifiés ? J'oserais dire, à l'instar des chirurgiens qui ratent leur besogne : dans la classe, il y a toujours un premier et un dernier. Or certaines écoles diplôment les derniers comme les premiers. Dans le cas présent, les mécanos ont copieusement merdé. Entre-nous, ils ne méritent pas leurs qualifications spécialisantes. Ils sont de navrants bricolos. Seulement le système les a autorisés à réaliser une maintenance au demeurant exigeante. Dommage pour les clients, dommage pour le système.

Outre Atlantique, j'ai souvent été étonné par ce principe de spécialisation et de stages qualifiants. Un pays-continent ayant en charge plus de trois cent millions d'individus se doit d'occuper sa population de manière rationnelle. Ainsi, chaque individu peut prétendre à un emploi. S'il est ''simple'' dans sa tête (et Dieu sait combien certains ricains le sont !), on lui octroie une tâche simple qu'il apprend à réaliser durant un stage. Sa vie durant, il tournera le gros boulon de gauche d'un quart de tour, ou livrera les colis de moins de 10 kg. Et quand d'aventure vous lui demandez de tourner le petit boulon d'un tour complet, il vous envoie voir le chef... lui ne prend pas ce genre de responsabilité.

Pour satisfaire à tout et ne pas déchanter, on part du principe que tout le monde est dernier de la classe. C'est bien, mais ça n'avance pas. Une file d'attente au ''post-office'' prête à rire. Chaque question sortant du moule (c'est-à-dire toute question) impose l'assistance d'un ''chef'' qui ne parvient parfois que difficilement à débloquer la situation. Et parfois pas.

Dans les pays latins, on pense que donner plus de liberté d'action à un individu le rend plus rentable et fluidifie son rapport transactionnel. Selon moi, cela ne peut concerner l'ensemble d'une population ; le dernier de la classe a d'autres rôles -importants aussi- à jouer dans la société. En cas contraire et fort des qualifications qu'on lui octroie, il fout le bordel.

Le charpentier qui a déglingué ma toiture ; le diéséliste qui cherche des injecteurs dans la boîte à gants ; les mécanos aéronautiques qui déraillent... tous ces gars qualifiés forment le bataillon des derniers de leur spécialité. Problème : comment reconnaître un premier d'un dernier... Je n'ai pas la réponse.

J'ai eu l'occasion de voir (et de photographier au cas où on me traite de mauvaise langue), un ULM entièrement construit par un mécanicien aéronautique agréé. J'ai compté pas moins de 10 raisons de décéder dans les premières minutes de vol. Des renvois de commandes montés à l'envers au perçage décalé des attaches de haubans, les fautes mécaniques semblaient former un gag pour caméra cachée. Pourtant le gars en question a volé à bord du zinzin (pas longtemps, certes), m'a confié avoir trouvé le pilotage étrange (pour cause !) et trouver le kit assez mal foutu. C'te bonne blague !

Ma toute grosse colère du moment vient de ce que personne ne veut entendre les plaintes des clients insatisfaits. Dénoncé à la DGAC, le pro des hélices en biais n'a été visité par aucun organisme. Il poursuit son activité tranquillement et se paie le luxe de ne pas répondre aux courriers du plaignant, lequel demande le remboursement de sa facture et le remplacement de l'hélice dégradée.

Bien sûr, il n'est pas simple pour une organisation de se désavouer : retirer un agrément qu'on a octroyé, c'est comme admettre sa propre incompétence. L'organisme formateur est missionné par une autorité qui est responsable en dernier recours de la qualité du service. Mais il est trop facile de s'en tenir à la simple lecture d'un ensemble de conditions qui concourent à agréer un atelier.

Quand un problème est signalé, une enquête doit être ouverte sans tarder. Ne serait-ce que par précaution. Qu'un autre problème survienne, qui entraîne le décès d'individus, il ne sera plus temps de chercher des excuses : l'autorité de tutelle devra en répondre.

Mais là, on s'écarte.

Aujourd'hui plus que jamais, les spécialistes poussent comme les ronces autour des clôtures. Il n'est pas question de renoncer à leurs services souvent précieux. Il convient seulement de rester vigilant. Un contrôle a posteriori du travail effectué est souvent possible. Vérifier quelques assemblages stratégiques, scruter, photographier toute chose suspecte ; mais surtout interroger le spécialiste en cas de doute et demander une analyse contradictoire si le doute persiste.

A l'instar de l'expert, le spécialiste est sensé connaître le domaine dans lequel il exerce. Il est même sensé y exceller. Et s'il n'est pas bête, il doit bien appréhender l'environnement de son domaine.

D'où ce dernier exemple de spécialiste en herbe...

Alors que ce maudit transpondeur commence à me chauffer la rustine après moult interventions, changement de logiciel, mises à jour et up-grade coûteux, le contrôle ne me captant qu'épisodiquement, j'en parle à un pote, spécialiste de son état, qui propose de solutionner mon problème.

Qualifié par un stage spécialisant dans les ondes radios et l'aéronautique, le brave gars trouve immédiatement que le code hexadécimal du machin est erroné. Surpris que cela influence son fonctionnement, je le laisse intégrer le bon code. Ce qui bien entendu ne solutionne aucunement la panne.

Ensuite, c'est le câblage qui est démonté. Faisceau mis à plat et méticuleusement vérifié par des actes dont la finalité m'échappe, l'ensemble est remonté et testé. Après trois minutes de satisfaction, le SIV m'informe de ma soudaine disparition. Comme je suis sûr de n'avoir aucunement disparu, j'en conclus que le zinzin est encore en rade.

Je revois donc le montage, poursuis chaque fil de son début à sa fin, vérifie encore le câble d'antenne, puis cette dernière récemment remplacée. Là, une chose attire mon attention ; un léger jeu entre la pointe et le socle. Trois fois rien... multimètre en mains, je constate que la continuité électrique est imparfaite. Quand je bouge la pointe, le courant ne passe plus. Voilà donc la panne.

Panne que l'ami spécialiste balaye comme on se débarrasse d'une mouche d'un revers de main. N'empêche que le transpondeur fonctionne maintenant de manière continue...

Un titre n'est qu'un titre... dans certains cas honorifique. Un titre est qualifiant, mais ne qualifie pas son porteur. Ainsi, on peut être président et se planter sur tout (voyez-vous à qui je pense ?). On peut même être Dieu et rater sa création (voyez-vous de qui je me moque ?)... On peut donc être spécialiste et s'être trompé de stage.

D'où l'expression des spécialistes en herbe : ''tiens, fume.. c'est du spécial !''

Bons vols, avec prudence.

Miguel Horville

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