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Edito octobre 2021
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MANEX pour OBL en OPS ULM

Notre ministère tutélaire à la dénomination fluctuante a lancé une consultation en vue d'un projet d'arrêté relatif aux opérations aériennes commerciales des ULM, projet dont la publication est prévue pour fin 2021, donc incessamment.

Pour faire plus ''smart'', ça cause d'un arrêté OPS ULM... sans doute pour opérations spéciales ou spécialisées. A moins qu'il s'agisse d'une faute de frappe, le U de OUPS ayant été omis.

L'objectif de l'évolution réglementaire est de mettre en œuvre les recommandations du BEA concernant le renforcement des dispositions applicables aux opérations commerciales, tout en maintenant le cadre actuel pour les activités de loisir.

En clair, rien ne change pour l'ulmiste de base qui vole pour s'aérer les éponges, mais on va a contrario pourrir la vie des organismes qui vendent des heures de vol en ULM.

Sont notamment ciblés : le transport aérien de passagers ou les activités particulières, réalisés à titre onéreux.

Sans détailler la teneur des documents produits par la DGAC (voir fichier à télécharger ci-dessous), globalement on considère qu'un professionnel qui facture une prestation de baptême doit répondre à quelques obligations réglementaires afin de garantir la meilleure sécurité possible à ses ''clients''.

Parachute, balise de détresse, carnet d'entretien, manex, formation, expérience, évaluation... visite médicale !

Somme toute, des exigences équivalentes à celles des pilotes d'avion.

Qu'en penser ?

Sans détour : J'APPROUVE A 100% ! Je trouve même inquiétant qu'on y pense seulement maintenant.

Soyons clair, on doit à deux ou trois entités bien connues cette remise en question des fondamentaux de l'ULM. Entités qui se singularisent par une prise de risque XXL menant régulièrement à des drames.

L'une d'elle, sans doute la plus létale, opère dans un environnement où les ULM devraient purement et simplement être interdits de vol en raison de sa dangerosité.

Alors puisque ces professionnels ne peuvent ou ne veulent se résoudre à ignorer le risque, semblent ne pas comprendre la base de notre Annexe 2, autant leur faire la misère, ce qui n'empêchera pas les accidents*, mais rassurera a minima la frileuse autorité.

Pour préciser le propos, les clubs qui opèrent l'activité de vols de découverte dans une frange marginale de leur activité totale seront moindrement impactés, seul le pilote devant répondre d'une qualification et d'une expérience démontrée.

Alors bien sûr les opportunistes vont grincher. Bah oui, quoi... C'était si simple de gagner sa vie en transportant des non-initiés dans des poubelles volantes. On vend l'espoir de passer un moment merveilleux, sans se soucier de mettre tout en œuvre pour que cela se termine bien.

Nous en connaissons tous, des pilotes tarés qui n'ont aucun respect de leur passager. J'ai rencontré en région parisienne un ''professionnel'' qui emmenait ses ''victimes'' dans un Weedhopper que je n'aurais jamais autorisé à quitter le sol... Il s'amusait des nombreuses anecdotes hallucinantes qui ont émaillé son activité. Grrrr !

Outre que ces ''professionnels'' du risque font un tort considérable à l'image de notre discipline, faisant passer ses acteurs pour des timbrés, ils jouent à la roulette avec la vie d'innocentes personnes qui font l'erreur d'accorder leur confiance.

C'est dégueulasse, que ce soit volontaire ou non.

Personnellement je pense que la recommandation du BEA ne va pas assez loin. Je serais pour l'interdiction pure et simple de tout transport commercial en ULM.

L'ULM n'étant pas certifié, je ne vois pas en quel honneur on peut autoriser son exploitation de manière publique, alors qu'une simple bagnole transportant des occupants doit répondre à des normes strictes et passer régulièrement un contrôle technique.

Sans parler de l'aviation certifiée dont le coût d'exploitation est grevé par la sécurité passive que représentent les visites calendaires et l'entretien agréé.

Sans causer d'un manège de foire qui fait l'objet d'inspections régulières pour assurer la sécurité du public.

Et quand j'utilise donc le mot ''opportuniste'', c'est en conscience. L'ULM permet de concurrencer l'aviation CDN à moindre coût. Comme un plombier auto-entrepreneur concurrence une SARL avec une charge d'exploitation divisée par quatre ! Alors qu'on ne me parle pas d'autre chose que d'opportunisme.

Bien sûr ceci est rendu possible parce que la réglementation le permet !

Si l'ULM était resté une activité de loisir comme le prédestinait son concept original, les ulmistes seraient restés invisibles et donc tranquilles. Mais autant la fédération que l'administration, ont permis ou contribué à développer les usages pouvant être faits de nos chiffons volants.

Pour être précis, cette dérive trouve son origine dans l'évolution majeure de la réglementation sur les masses. Certes pas les 500 kg de 2019 !

On parle d'une origine de 1980 où les ULM pesaient 150 kg à vide, avec une charge alaire max de 15 kg/m² et une Vs0 de 40 km/h, ou d'une origine de 1982 fixant la masse des biplaces à 175 kg avec une surface mini (en m²) valant 10% de ladite masse.

Ces ULM pouvaient juste voler. Et ceux qui, comme moi, ont volé avec ces pétrolettes (Weed, Maestro, Quick... pour les multi), savent l'intense bonheur que procurait le vol simple. Imaginez une procédure A.C.H.E.V.E.R qui dure 6 secondes ! Cela s'appelle voler en ULM...

Et pour ceux qui trouvent cette aéronautique trop restrictive, trop désuète, il reste l'aviation certifiée... pourquoi n'y vont-ils pas ? Rire ironique à tendance sarcastique hahahaha !

Avec l'augmentation successive des masses, les activités se sont multipliées.

Ce qui aurait pu passer pour des cas atypiques et ponctuels d'originalité, est devenu la norme : largage de parachute, transport de personnes, épandage, remorquage...

Alors bien sûr en multipliant le risque de l'activité, on multiplie les accidents et dès lors, l'invisible activité ULM se remarque ; on en parle -négativement- dans les médias et l'avalanche d'emmerdements nous tombe sur la tête.

MAIS...

Bah oui. Y'a toujours un ''mais'' qui traîne dans les circonvolutions d'un cerveau tourmenté.

On nomme cela dichotomie pour faire intello, schizophrénie pour faire tendance.

Je suis POUR qu'on sur-réglemente (ou interdise) les activités commerciales (notamment) de transport en ULM, pour la raison évoquée plus haut, mais également CONTRE qu'on sur-réglemente ces mêmes activités.

J'en vois déjà qui se grattent le cuir. Il était fou, maintenant il est dément...

Je suis contre parce que, fils d'un fonctionnaire éclairé qui m'a initié aux cheminements de cette classe socio-professionnelle, je sais que jamais une décision n'est prise isolément sans arrière pensée, ni sans options complémentaires futures.

Ainsi je sais que le fonctionnaire-technocrate ''tente'' parfois des trucs en attente de la réaction des usagers, avant de les valider par une généralisation ; une sorte ''d'étude de marché'' des services publics.

Je sors mon billet que ce qui vaudra pour les professionnels vaudra pour les clubs (déjà une limitation fait partie de l'arrêté), ce que personne ne souhaite, les clubs étant beaucoup plus impliqués dans la sécurité, puisque non assujettis à l'objectif de rentabilité (du moins pour les vrais clubs, non pour les OBL déguisés en clubs : et ça, c'est à la fédé' de faire le ménage).

Et bien sûr, l'étape suivante... après les clubs, le reste du troupeau.

Alors forcément, on ne peut que s'interroger sur le rôle et l'action de la FFPLUM, dont le président contacté à ce sujet n'a pas jugé utile de répondre.

Bon : perso j'suis un gland. Je considère qu'une personne qui sait me reprocher d'égratigner la fédé', doit faire en sorte que cela ne se produise pas, notamment en répondant à ces questions simples :
- ce projet a-t-il été développé en concertation avec la FFPLUM ?
- la FFPLUM a-t-elle présenté et expliqué les termes de ce projet d'arrêté aux adhérents, OBL ou non ?

L'absence de réponse m'informe de l'absence de concertation, de transparence et/ou, selon moi, d'anticipation.

Donc pour résumer : les ulmistes (particuliers, clubs ; pros évidemment) sont en grand danger à cause des évolutions irresponsables de la réglementation et de la tolérance aveugle dont ils bénéficient.

L'Annexe 2 risque de devenir obsolète dans ses grands principes, par élargissement de l'emprise des annexes supplétives de l'arrêté 2021 (décrites dans le fichier joint).

J'en arrive à un constat glaçant : s'il est acquis que la DGAC n'est pas notre amie**, tout porte à croire que la FFPLUM ne l'est pas davantage. Encore faut-il s'entendre sur la définition de l'amitié...

Un ami ne donne pas le poisson : il apprend à pêcher. Un ami offre l'assurance d'une prospérité, la sécurité et l'avenir. Sinon, c'est juste un copain, un pote, une relation... personne.

Comme dit Gilou, philosophe-diéséliste et psycho-chaudronnier : La technocratie a de bonnes intentions. Mais elle a de mauvaises idées. Ces mauvaises idées font de la vie un enfer. Aussi dit-on que l'enfer est pavé de bonnes intentions. Mais c'est faux et facile à démontrer. L'enfer n'existe pas parce que Dieu n'existe pas. Car si Dieu existait, il n'aurait jamais autorisé la technocratie (mais il dit aussi beaucoup de conneries).

Bons vols, beaux vols, avec les papiers en règle, le tampon obligatoire et la qualif' adhoc.

Miguel Horville

* On peut inventer toutes les règles qu'on veut : quand l'opérateur est un gland, le résultat est attendu. Le dernier accident mortel en vol commercial ULM impliquait un pilote ultra expérimenté, capable de voler en conditions difficiles, sans doute avec un ULM très bien entretenu... Mais l'impératif de rentabilité l'a conduit à décoller par temps merdique... Lorsque la visibilité a décru dans un environnement hostile, le pilote expert super entraîné, la passagère et l'ULM ont rencontré le sol et boum. Quelle réglementation changera ça ? Seule l'interdiction peut l'empêcher.

** la DGAC n'est pas notre amie : elle dépend d'un ministère. Ayant acquis une indépendance due à la spécificité de sa spécialité, elle a pu longtemps entretenir le mythe de son indispensable, voire incontournable raison d'être. Mais face à la privatisation des services et à la poussée de l'EASA, les fonctionnaires qui la composent ont un impératif supérieur à l'aéronautique : justifier leur salaire.

Projet d'arrêté OPS ULM

Communiqué de presse du GIPAG



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