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Salons & rassemblements

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Blois 2019
Cherche ULM désespérément

La coupe esthétique du salon de Blois récompense les propriétaires et les constructeurs, qui apportent un soin particulier à la réalisation ou la décoration de leur ULM. Cette année, l'organisation animée par.....

L'autre vainqueur ex-aequo de cette coupe esthétique édition 2019 est Laurent Remacle qui a construit un autogire original nommé L&T 01. Son aventure de constructeur s'est déroulée sur 5 ans, dont une première.....

Le Gaz'aile II de Georges Rigg n'est pas le premier du genre à être récompensé. Il est toutefois toujours émouvant de découvrir le fruit d'un long travail (5 ans dans le cas présent), d'imaginer la volonté qu'il.....


Breveté planeur à 15 ans, Arnaud Abt baigne depuis toujours dans le monde aéronautique. Il a entamé la conception de son projet Exia à l'âge de 20 ans alors qu'il était en école d'ingénieur aéronautique.....

Le Ventura est le résultat d'études menées par le R&D d'ICP, visant à répondre à la demande croissante du marché pour un ULM de plus grande taille, avec plus d'espace et une plus grande capacité de chargement......

Skyleader propose cette année une version élargie du SL 200. Si la verrière reste identique, les flancs de la cellule qui retombent verticalement, offrant davantage de place au niveau des hanches et des cuisses. La.....


Sorti en 2004, le Tanarg a connu son premier grand lifting en janvier 2019 pour devenir Tanarg neo. Au rang des changements, on retiendra le tableau de bord carbone plus large pour recevoir des écrans plus nombreux ou.....

Le constructeur italien propose une déclinaison ''brousse'' du Storch nommée X Jumper. En fait, outre la déco caractéristique, le X Jumper diffère du Storch ''normal'' par des roues Beringer de 26 pouces sur le.....

E-Meca : l'injection 912 mécanique
Gilbert Béringer, fondateur de Béringer Aero SA, présente E-Meca, une nouvelle entité dédiée à l'optimisation et la fiabilisation des moteurs Rotax. Parce Gilbert, sa femme et leurs enfants pilotent, notamment dans une région où la panne moteur est exclue des options, il a choisi de se lancer dans l'aventure de l'injection, mais suivant un procédé connu de très longue date, qui a donné et donne toujours de bons résultats : l'injection mécanique. Ceci afin de ne pas tomber dans le piège des pannes moteur seulement dues à une insuffisance électrique. L'équipe en charge du projet a donc commencé le circuit par le développement d'une pompe mécanique à piston linéaire ''haute'' pression (1,5 à 2 bars) montée en lieu et place de la pompe d'origine basse pression choisie par le motoriste autrichien. Cette pompe limitée par un régulateur envoie le carburant dans la pièce maîtresse qui est le boîtier doseur de carburant, non dépendant de son optimiseur électronique (donc en cas de défaillance, une mixture par défaut est toujours débitée). Ce boîtier qui intègre le papillon de gaz à commande mécanique (donc directement relié à la manette des gaz) est connecté à une boîte à air de tranquillisation d'une contenance de 4 litres. En débouchent 4 sorties où se connectent les pipes d'admission en aluminium poli-anodisé via une interface réglable en longueur selon le profil de moteur souhaité. Ces pipes individuelles accordées (de longueurs égales) viennent en remplacement des pipes doubles Rotax et se solidarisent aux culasses par l'intermédiaire d'une assise porte-injecteur fixée au moyen des points d'ancrage Rotax non modifiés. L'ensemble boitier-doseur-boîte à air est fixé sur une platine ajustable sur le dos du bloc moteur. L'optimisation du montage nécessite le déplacement des bobines d'allumage, des connecteurs extérieurs et du vase d'expansion. Enfin les injecteurs mécaniques diffusent le carburant en continu au plus près des soupapes d'admission. Ce qui fait de ce système une injection indirecte multipoint. Parmi les avantages mis en avant, on relève une économie substantielle de carburant, un fonctionnement plus lisse, avec des démarrages et des arrêts non brutaux (cf 912 S), pas de déréglage de synchronisation, aucun risque de givrage, plus de problèmes de flotteurs et un léger gain de puissance. E-Meca vise une TBO de 2000 heures sur l'installation, tout en se substituant à la garantie de Rotax en cas de montage sur un moteur neuf ou récent. Le dispositif sera commercialisé en kit vers 2020, à un tarif qui pourrait s'approcher de 4000 euros ttc. Le développement sur banc est terminé. Un démonstrateur est en cours de montage pour la réalisation des tests en vol.

E-Meca - rue Charles Nungesser - 05130 Tallard - 06 48 57 40 80 - e.meca.injection@gmail.com - www.e-meca-injection.com

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