logo ULMaG www.ulmtechnologie-shop.com
courrier
livre d'or
messagerie


Edito septembre 2020
177 articles .......... anciens éditos


vignette
J'ai perdu mon ombre... et bientôt ma liberté

Connaissiez-vous Goldy ? Autrement nommée Gogo ou Toutouille ? Ma chienne.

Elle aimait bien le rassemblement de Blois ; elle y croisait d'autres gentils poilus.

Et bien Goldy n'est plus ; embarquée par un crabe. Elle laisse un grand vide, d'agréables souvenirs et de la peine.

Et puisqu'on parle de cancer, parlons un peu d'écologie et d'ULM.

La convention citoyenne pour le climat nous a permis de découvrir le pouvoir de nuisance de quelques insignifiants briefés par des malfaisants. Le mois dernier, j'évoquais la punition collective proposée pour les pilotes de loisir dans le but de ''limiter les effets néfastes du transport aérien''. Qui a compris le rapport entre transport aérien et aéronautique de loisir ?

C'est aujourd'hui un écologiste remuant qui s'intéresse à l'aviation de loisir, légère et ultra légère. Un zorro des faux qui préside son parti écolo EDS, préside à des commissions, vice-préside aux régions, fonde mouvements et institutions... Occasionnellement, ce député parasite des contribuables français retourne sa veste, trahissant ainsi les électeurs qui lui ont accordé leur confiance. Cette brillante girouette se nomme Matthieu Orphelin.

Il n'est pas seul. Il est même entouré d'un aréopage de vainqueurs : Cédric Villani (expert en bizarre), Aurélien Taché (absentéiste forever), Delphine Batho (squatteuse), Barbara Bessot Ballot (CETA CEMOI), Hubert Julien‑Laferrière (MEDIA CEMOI), Jennifer De Temmerman (autre squatteuse), Annie Chapelier, Sabine Thillaye (j'y suis j'y reste), Martine Wonner (so surprised), et d'autres transposables à veste symétrique, travaillent pour le bien de l'humanité, pour sauver nos âmes impures... bref pour nous faire chier.

Donc le Matthieu de la Girouette et son orchestre ont présenté fin juillet dernier une proposition de loi à l'assemblée nationale pour ''faire de la publicité un levier au service de la transition écologique et de la sobriété et pour réduire les incitations à la surconsommation''.
Une liste interminable d'interdits et de punitions.

Cela part dans tous les sens ; aucune branche n'est épargnée, hormis les producteurs de tofu.

Pour le secteur du transport aérien, il convient d'apprécier la section 15 de l'article 10 :
Art. L. 121‑26.
- À compter du 1er janvier 2022 est interdite toute publicité portant sur des liaisons aériennes domestiques substituables par un trajet en train d'une durée inférieure à 4 h 30.
- À compter de la même date est interdite toute publicité portant sur des liaisons aériennes internationales au départ de Paris substituables par un trajet en train d'une durée inférieure à 4 h 30.
- À compter du 1er janvier 2023 est interdite toute publicité pour des vols long‑courrier ou des offres de voyage incluant un vol long‑courrier impliquant explicitement ou implicitement un séjour sur place de moins de 15 jours.


Pour faire simple, les écolos n'aiment pas les avions, n'aiment pas l'industrie aéronautique, n'aiment pas les travailleurs qualifiés qui en vivent, mais aiment le tofu et l'écriture inclusive.
Par ailleurs, les voyagistes apprécieront la plaisanterie des voyages touristiques d'une durée supérieure à 15 jours. Encore une profession vouée au chômage de masse. Mais quand on est écolo payé par des cons de français, on se tape des victimes collatérales. Seule l'idéologie compte.

Pour ce qui préoccupe l'activité aéronautique légère et ultralégère, rendez-vous article 14, section 18 :
Art. L. 121‑29.
- Toute publicité opérée au moyen d'une banderole tractée par un aéronef est interdite.


Et Arnaud Schwartz, président de France nature environnement y va également de son couplet : la publicité ne devrait pas être imposée sur les lieux de vacances.

Tiens ! Prend ça dans les chicots. Donc les entrepreneurs qui ont investi dans un ULM (ou un avion), un système de remorquage, une ou plusieurs banderoles, n'auront plus qu'à aller faire cuire des crêpes véganes au tofu sur la grande plage de Carnac, dans un four solaire basse température, cela va sans dire.

Ajoutons qu'au cas impensable où cet article serait retoqué, la parade est préparée chapitre 2 article 4 :
Art. L. 581‑3‑1.
- Le maire peut interdire la publicité sur l'ensemble du territoire de la commune pour un motif d'intérêt général touchant à la protection de l'environnement et du cadre de vie.


Donc pas d'imprudence les gars : une extrême vénération est due à l'édile locale. Sinon, crêpes au tofu en four solaire !

Faut-il être le dernier des crétins pour imaginer que les banderoles, généralement appréciées des touristes, enrichissent les multinationales. La plupart du temps, les messages concernent des événements locaux, loisir, tourisme, foires, marchés... bref des emplois, de l'activité, du commerce... Ce qui fait tourner l'économie et peut sauver des régions.

Dès lors une question se pose : où Matthieu-la-terreur a-t-il été pêcher de pareilles idées ?

Je pense qu'il les a simplement volées aux nains de la convention citoyenne pour le climat (plus exactement en page 32, art. C.2.2.4).

Il ne peut en être autrement.

Parce que s'il ne les a pas volées, c'est qu'elles étaient rédigées avant que la convention ne se réunisse et donc que les 150 pantins n'ont servi qu'à duper le peuple français.

Mais cela ne se peut pas, puisque que cette convention a opéré en toute transparence, laissant libre cours à ce simulacre de représentation citoyenne.

Ben ouais... on nous prend bien pour des cons.

Mais du coup, le Matthieu qui a déjà bien baisé LREM et ses électeurs fait un enfant dans le dos de son ex-taulier, il presidente della repubblica !

Et oui : ce dernier avait en projet de prendre le package des 150 propositions pour en faire une loi cadre dont il ne resterait qu'à discuter les items au regard de la constitution. Une espèce de corbeille de mariée qui serait offerte au parti vert le plus enclin à lui beurrer la rampe de lancement en 2022.

Lors le Mat-Mat lui rase le gazon sous les talonnettes Weston. Un coup de pute. Un de plus.

Mais qu'est-ce qui fait ainsi déjanter les écolos ?

Le vert agrège tout et n'importe quoi au nom d'une idéologie dénuée de ligne politique. On en veut pour preuve la déstructuration économique qui ressort des idées, textes, projets et lois qui sont lancées à l'aveuglette sans construction globale.

Le vert est généralement médiocre et faible, en est vaguement conscient, et entend donc ramener à son niveau, outre le débat, le reste de la société.

Mais le vert possède un atout de poids : il est courtisé par les partis faillis en mal de bulletins. Alors on le cajole, on le flatte, on le suce dans tous les sens, allant jusqu'à adopter ses lois (quelques unes du moins, pas trop quand même).

L'écologie n'est pas un parti politique. Ce n'est même pas un choix, ni une ligne de pensée. On ne peut pas être ''pour l'écologie ou contre l'écologie'' comme on ne peut pas être pour ou contre la nourriture. L'écologie, chacun la possède en lui, mais nous l'abordons de manière différente. Du gros dégueux qui jette ses piles dans la nature au scrupuleux qui roule à bicyclette (pas comme l'éco-menteur Mamère). Nous sommes tous écologistes, mais à des degrés divers, avec une sensibilité propre.
De même les politiques qui sont menées peuvent aller vers plus ou moins de décisions favorables à la préservation de notre environnement. Encore faut-il :

1 - que les dés ne soient pas pipés,
2 - qu'on ose aborder les vrais sujets qui fâchent et pas seulement les gadgets à bobos,
3 - qu'on arrête d'inverser les valeurs techniques et économiques,
4 - qu'on inscrive les projets ''écologiques'' dans un projet global qui ne nuise pas au peuple,
5 - être honnête dans la démarche,
6 - ne pas se moquer du monde,
7 - arrêter les mensonges.

1 - Les dés pipés, c'est la solution de facilité, la solution des médiocres. Il est plus facile de remarquer la fumée visible qui s'échappe d'un diesel de smicard que les tonnes de CO2 rejetées pour fabriquer les batteries des merveilleuses bagnoles électriques, pour alimenter lesquelles on redémarre des centrales à gaz ou à fuel (quand ce n'est pas à charbon). C'est ça du pipage de dés. Quand on choisit une cible au motif qu'elle est visible.

2 - Les sujets qui fâchent sont salement occultés par les gouvernements et aussi par les écolos. Prenons l'exemple des super cargos : ces ogres ingurgitent et brûlent incomplètement un combustible surchargé en soufre et autres saloperies dans des proportions qui feraient oublier nos petites autos s'ils circulaient sur les autoroutes. Mais comme ils sont en mer, loin, on ne les voit pas. Alors les p'tits verts miros, trop feignants pour se renseigner et trop lâches pour s'y frotter, pointent le doigt sur les bagnoles, sur les motos ou sur trois ULM et demi.
Entend-on un vert causer des rejets cimentiers de Lafarge ? Bah... c'est qu'on ne plaisante pas avec les rois du BTP et leur méga pouvoir de nuisance.
Z'avez déjà entendu un ''grün'' s'opposer à l'abaissement de la production électrique nucléaire en Allemagne ? Non ? En revanche moi je vois un pays qui se fournit chez ces cons de français atomiques et qui brûle du charbon pour alimenter la télé à papy schoupntz. Mais ça, chut ! Faut pas dire.
C'est ainsi ; les sujets qui fâchent font peur. Or quand on est médiocre et lâche, on ne fanfaronne pas avec les gros bras.

3 - L'inversion des valeurs, c'est quand, toujours au nom d'une idéologie, on se lance à corps perdu dans des programmes qui polluent davantage que les solutions existantes. Sur ce point, n'en déplaise à la wert-marcht, des panneaux solaires fabriqués en Chine, avec des Terres rares exploitées en dépit du bon sens, transportés sur des navires-épaves pour être utilisés aux heures où précisément on n'a pas besoin d'électricité, cela n'a aucun sens. L'inversion des valeurs c'est d'implanter des éoliennes, énormes génératrices de carbone pour leur construction à l'étranger, qui rapportent gras aux investisseurs étrangers, qui tournent quand elles ont du vent, et surtout qu'on fait tourner en l'absence de vent pour éviter que des connards de français remarquent leur futilité. Au fait... c'est quoi le point commun entre l'électricité éolienne et l'électricité solaire ? Facile : c'est quand la demande est la plus faible qu'on en produit le plus !

4 - Un projet global pour le peuple, c'est une écologie réjouissante. L'idée de proposer des solutions pérennes globales avant de détruire des emplois et de stigmatiser des catégories de personnes. L'idée de ne pas dilapider les ressources financières en projets fumeux (voir les dotations faites aux ''majors'' aéronautiques en contrepartie de rien à l'encontre de toute faisabilité technologique et de toute logique industrielle). L'idée d'offrir au peuple l'exemple de pratiques vertueuses avant de les lui imposer. L'idée de donner envie plutôt que dégoûter... Ces idées ne sont pas au programme des écolos, parce qu'elles s'adressent au peuple. Or quand on est écolo, le peuple passe bien après l'idéologie, à l'instar d'un droit pour les arbres imaginé par un illuminé, alors que des malheureux crèvent encore de faim en France.

5 - L'honnêteté, c'est quelque chose de profond qui fait appel à l'éducation, la culture et l'intelligence. Alors forcément, quand on manque des trois, on est mal barré. Ainsi, la propagande écolo se base sur un concept aussi simple que malhonnête. Exemple : vaut-il mieux rouler au diesel et torturer un chaton ou rouler électrique et manger du tofu ? Sans aucune corrélation entre les items, on oppose l'horreur à une vision imposée. Qui veut torturer un chaton ? Cet exemple extrême illustre exactement les options offertes à des gens malléables et empreints de bienveillance. Fatalement, sous cet angle, on ne peut qu'épouser ou haïr. Mais cela peut encore aller plus loin dans la perversité idéologique : préférez-vous qu'on torture un chaton ou qu'on sauve la planète ? Là, c'est tordu. Parce la réponse est unanime. Sauver la planète ? Bon, alors abandonnez votre diesel ! C'est pas plus compliqué. Et pourquoi les écolos sont-ils majoritairement europhiles ? Tout simplement parce qu'ils se savent incapables de gérer une nation. Alors le mieux est de confier cette mission à une autorité supérieure qui leur donne les clés d'un pré-carré qu'ils saborderont comme à l'accoutumée par leurs querelles intestines.

6 - Inutile d'être un observateur accompli pour comprendre comment les écolos se moquent de la probité intellectuelle. L'association du mot écologie à n'importe quel sujet sociétal est en soi une gymnastique intellectuelle à laquelle se livrent sans vergogne les écolos. Quelques exemples d'ateliers et de conférences EELV : ''l'éducation à l'heure du climat...'' ; ''violences policières, dérèglement climatique : même système, même combat...'' ; ''patrons et écolos à la fois (rectifiez patron.ne.s et écolo.e.s)...'' ; ''inégalités : une menace pour l'écologie et la cohésion démocratique''... Des items sociétaux réels et intéressants sont agrémentés du mot écologie comme un cheveu tombe dans la soupe. Un autre exemple : quand on oppose à un écolo le renforcement de la sécurité des centrales nucléaires afin de pérenniser leur usage non polluant, celui-ci répond sans se démonter que les bombes atomiques sont également nucléaires et sont très dangereuses et polluantes ! Voilà le genre de réflexion qui clôt toute discussion. Quant aux représentants écolos... L'invraisemblable Malcom Ferdinand, docteur en philosophie politique (matière sans doute introduite à sa demande), chercheur au CNRS et ''militant pour une écologie décoloniale'' ou ''l'écoféminisme contre toute forme de domination''. Ce cas hors concours, soutien du mouvement Adama Traoré, affirme que ''les questions de racisme sont aussi écologistes''. Ce mec est une synthèse à lui tout seul. Tous ces idéologues déjantés sont payés par nos impôts, bien entendu...

7 - Le mensonge est utilisé à grande échelle pour légitimer des axiomes abracadabrants. Exemple EELV (publié) : ''un rapport du GIEC estime que 50 à 70% des leviers d'action contre le dérèglement climatique se situent au niveau local''. FAUX : le GIEC n'a jamais publié cela et s'en défend.

Enfin, cette enquête ne serait ni honnête ni complète si elle oubliait l'atelier EELV ''écologie, spiritualité et religions...''. Et oui ; ce qui se prétend être un parti ''politique'', donc possiblement un gouvernement (sait-on jamais), se donne pour mission de guider la spiritualité des électeurs ? Parle-t-on encore de politique, d'écologie, ou de sectarisme à tendance totalitaire ?

Petite précision : contrairement aux libertés que je m'octroie parfois (souvent) pour agrémenter certains récits, chaque mot de cette déconnante énumération est, pour notre plus grand malheur, vérifié et authentique.

Pour paraphraser Pierre Desproges : il y a plus d'amour dans un chien qui remue la queue, que dans un écolo qui dit aimer la vie.

Ce qui m'amène à repenser à ma chienne Goldy. Aussi limitée qu'était sa réflexion, jamais elle n'aurait eu d'idées aussi connes. Et pour cause : elle n'était pas écolo et ne bouffait pas de tofu ! Sérieux, quand on a goûté une merde pareille, on comprend mieux l'aigreur des écolos.

Bons vols, tant qu'on nous y autorise. Profitons, ça ne durera pas.

Miguel Horville, désormais 100% pollueur

sources : AFP - PQR - Tatiana Ventôse - EELV - sénat - reporterre

Voir la proposition de loi de Matthieu Orphelin



Gogo au salon de Blois : j'aurais donné la vie de cent Matthieu Orphelin pour prolonger la sienne de quelques minutes... Elle valait tellement mieux.


ANCIENS EDITOS
A force de faire n'importe quoi...
octobre 2024
Somme-nous semblables ?
septembre 2024
ULM : les paillassons volants (partie 2)
août 2024
ULM : la serpillière des profiteurs (partie 1)
avril 2024
Et la montagne accoucha d'une souris
mars 2024
Le client est-il roi ?
janvier 2024
Remise de gaz : y penser à deux fois !
décembre 2023
Cachez cet objet volant télépiloté que je ne saurais voir
octobre 2023
Blois 2023 : l'audace et la persévérance
septembre 2023
Et s'il y avait moyen de ne pas disparaître ?
juillet 2023
Un constructeur qui se fout bien du monde
juin 2023
Quand sonne l'heure
avril 2023
Situations conflictuelles
mars 2023
Le coup du marteau sur la tong
février 2023
Mon curé chez les ulmistes
janvier 2023
Les complices
décembre 2022
Quand les clubs nous font voler
octobre 2022
Fin de cycle sur tapis rouge
septembre 2022
Quand l'intégrisme vert vire au kaki
août 2022
Les règles et ce qu'on en fait
juillet 2022
Grand pouvoir et irresponsabilité
juin 2022
Un martien, sinon rien...
avril 2022
Et si on taxait l'indécence ?
mars 2022
Une lente descente vers le désenchantement
février 2022
Un ''sentiment'' d'augmentation...
janvier 2022
Histoire d'un voyage ordinaire extra
décembre 2021
MANEX pour OBL en OPS ULM
octobre 2021
MULM de la FFPLUM : une réussite !
septembre 2021
Du bal des timbrés aux joyeux suicidés
août 2021
Une idée féministe... l'ULM inclusif tendance woke sauce Fayence
juillet 2021
Une balle dans le pied... Une autre dans la tête !
juin 2021
Monopole, le chemin de la régression
mai 2021
La pilule de la veille
avril 2021
L'argent des autres
mars 2021
Comparaison n'est pas raison
février 2021
Fédérer, uniformiser... désunir
janvier 2021
De quoi j'me mêle ?
décembre 2020
Le diable se cache dans les petits caractères
novembre 2020
La cocorilose* en inaction
octobre 2020
J'ai perdu mon ombre... et bientôt ma liberté
septembre 2020
Punir les pilotes ; une idée citoyenne !
août 2020
Et Dieu créa la différence
juillet 2020
Bonne fête, mère Mozette
juin 2020
Vivre riche, sans modération
mai 2020
Histoire d'un rêve qui se termine
avril 2020
Le virus qui rend tout fou
mars 2020
Ceux dont la vie vaut plus
février 2020
Les bonnes résolutions
janvier 2020
Les pendul' à l'heure
décembre 2019
Pour qui roule la fédé' ?
novembre 2019


Qualif' radio : le début du renoncement
Le 2 août 2019, le journal officiel a publié l'arrêté du 12 juillet relatif aux procédures générales de circulation aérienne pour l'utilisation des aérodromes par les aéronefs. Ce texte est signé de Marc Borel, directeur du transport aérien à la direction générale de l'aviation civile (DGAC), par...

Cherche ULM désespérément
septembre 2019
De qui se moque-t-on ?
août 2019
Les spécialistes
juillet 2019
Le respect des hôtes, des autres
juin 2019
Métastases cherchent naïfs pour proliférer
mai 2019
Les nouveaux ULM...
avril 2019
Vend liberté : mise à un prix 300 000 euros !
mars 2019
Remplir les cases
février 2019
Générations éphémères
janvier 2019
Est-il urgent d'attendre ?
décembre 2018
Aérodrome avec supplément d'âme
novembre 2018
Promotions à débattre
octobre 2018
Victimes or not victimes ?
septembre 2018
La foire aux accessoires
août 2018
Esprit ULM... es-tu là ?
juillet 2018
Entre peu et pas, un état d'esprit
juin 2018
Espace Schengen, my ass...
mai 2018
Entêtement irresponsable
avril 2018
Du carburant frais pour voler ''safe''
mars 2018
Universalité ; diversité ; francophonie...
février 2018
ULM : aéronef sémantiquement indésirable
janvier 2018
Ce contexte qui brise le rêve ?
décembre 2017
Parler patois pas parler à toi ?
novembre 2017
From rustic to high-tech
octobre 2017
S'élever, se régaler, se déplacer...
septembre 2017
De l'impuissance à l'imposture
août 2017
Baliser entre les cônes
juillet 2017
ULM : le bal des hypocrites
juin 2017
Les marquis du narquois vous em... brassent
mai 2017
500 kg : et après ?
avril 2017
Il est si facile d'interdire
mars 2017
A quand les ZIP ?
février 2017
Spécialistes en herbe
janvier 2017
Légèreté
décembre 2016
Comprenez si vous pouvez
novembre 2016
Le ciel a bon dos
octobre 2016
Salon de Blois : les limites
septembre 2016
Les euro-cocus du 8.33
août 2016
Concepteurs amateurs
juillet 2016
Ce chien... un humain comme les autres
juin 2016
Fumisterie électrique
mai 2016
De l'économie au foutage de gueule
avril 2016
Ça va chier !
mars 2016
Presbyte cherche gros caractères
février 2016
Et après?
janvier 2016
Le prix du baril d'a-brut-i...
décembre 2015
Vol de nuit : le bal des hiboux
novembre 2015
Et si la sophistication tuait ?
octobre 2015
Victimes consentantes
septembre 2015
Le sentir... ou pas
août 2015
La saison des gamelles
juillet 2015
Qui osera ?
juin 2015
Un système qui nous échappe
mai 2015
Multicopters : vers une 7e classe ULM ?
avril 2015
Le cinquième élément : celui de trop
mars 2015
Vigipirate : entre psychose et laisser-aller
février 2015
Dans le brouillard de la schizophrénie
janvier 2015
Une furieuse envie de voler !
décembre 2014
Marques sulfureuses... attention patates chaudes !
novembre 2014
Ceux dont la vie vaut moins...
octobre 2014
Drones : la messe est dite
septembre 2014
Attention aux bagages
août 2014
Dieu ne connaît pas ma soeur !
juillet 2014
L'ultime décision ; question de choix
juin 2014
Le beurre, l'argent du beurre et le reste on s'en fout
mai 2014
Volez! : la fin d'une histoire
avril 2014
Nous irons tous au paradigme*
mars 2014
Histoire belge
février 2014
Transfert d'incompétence : le Noël des voyous
janvier 2014
Drones à toutes les sauces
décembre 2013
Sophistication simplifiée
novembre 2013
Histoires de discrimination
octobre 2013
Un cône, ça se respecte ou ça se fume
septembre 2013
Dommages collatéraux
août 2013
Voler n'est pas un caprice
juillet 2013
Profiter c'est bien : mériter c'est mieux
juin 2013
Rencontres avec des martiens
avril 2013
Les pommes tombent des arbres... Les bananes s'y accrochent !
mars 2013
La méritocratie des branleurs ; comment accélérer le déclin
février 2013
Occasion : qu'est-ce qui cloche au pays des ulmistes ?
janvier 2013
Problèmes d'entoilage X-Air : lumière en vue
décembre 2012
Total Access ou l'étonnant paradoxe d'un vampire au sourire d'ange
novembre 2012
Une tablet'... à tous prix !
octobre 2012
Sainte Sarah is watching you*
septembre 2012
Intérêts... Désintérêt ? Connivence ou naïveté ?
août 2012
Conflit de probité ou incompétence... le danger guette
juillet 2012
J'ai tombé, je m'ai fait mal, je m'ai relevé... ou pas
juin 2012
En mai, fais ce qu'il te plaît...
mai 2012
Le bruit flou de l'administration
avril 2012
Rotax 912 iS : une innovation qui se mérite
mars 2012
Ne sombrons pas dans la vulgarité
février 2012
Et quoi d'autre pour 2012 ?
janvier 2012
Voler, c'est voler
décembre 2011
Les limites ont été atteintes... et dépassées !
novembre 2011
Blades...
octobre 2011
Les femmes, mères de tous les maux
septembre 2011
Le Tour ULM : une belle vitrine pour l'aéronautique
août 2011
Fausse-bonne idée cherche gogos... pour allonger l'oseille
juillet 2011
Du choix des mots et des propos
juin 2011
Basses couches en vert kaki
mai 2011
Ce facteur qui sonne toujours ... le glas
avril 2011
OUI... MAIS...
mars 2011
Des vautours planent sur nos ULM
février 2011
Restons éveillés
janvier 2011
Faisons un rêve
décembre 2010
Attention à la tâche d'huile...
novembre 2010
Mon royaume pour un bidon
octobre 2010
Genèse d'une Loi liberticide
septembre 2010
Aime le ciel, et le ciel t'aimera... peut-être
août 2010
Voler en Belgique... ou rouler
juillet 2010
Poule, oeuf et sophistication : la classe de plus, la classe de trop ?
juin 2010
Sous couvert d'anonymat
mai 2010
Taxe carbone : carbonisée
avril 2010
L'union fait notre force, notre salut
mars 2010
Le désespoir de ceux qui restent
février 2010
Bug de l'An 2000 : une simple répétition ?
janvier 2010
Migration : coucous désorientés
décembre 2009
La Chine s'éveille ; le monde s'endort
novembre 2009
Une crise... quelle crise ?
octobre 2009
Un parachute par amour, ou par respect
septembre 2009
Quand les pilotes dérapent...
août 2009
Quand les médias dérapent !
juillet 2009
A moi le ciel électronique !
juin 2009
A la gravité s'ajoute la connerie !
mai 2009
Etrange réglementation...
avril 2009
Inauguration
mars 2009

Webmaster : Fabrice Gay & MH - Rédacteur : Miguel Horville - ULMaG ©2008-2024













page générée en 0,02 sec.