logo ULMaG www.ulmtechnologie-shop.com
Edito décembre 2013
177 articles .......... anciens éditos


vignette
Drones à toutes les sauces

Journal du geek, début décembre, au poste : Amazon prévoit de faire livrer ses colis par des drones d'ici à 2020. Déjà une société de pizzas a réalisé une tentative similaire, ''un coup média'' comme on dit. Un restaurant servant des sushis accrochés à un octocoptère ; un pressing livrant ses clients par la voie des airs, avec séchage au souffle des rotors... une messagerie livrant ses plis par robot-hélico... un gestionnaire de stocks préparant sa mutation au ''tout-aérien''... Sommes-nous dans un film de science-fiction ? Non. Sommes-nous sur Mars ? Non plus. Sommes-nous en Amérique ? Que nenni ; nous sommes en France, pays précurseur en la matière, à ce qu'il paraît.

Alors je pose juste cette question : où allons-nous, au juste ?

Dans un mur, certes ; mais lequel et pourquoi ?

Alors il me revient en mémoire l'étrange réponse que m'a faite la responsable d'un service technique de pointe, à qui je demandais à quoi servait de faire causer un aspirateur. C'était dans les années 80. En fait, un énorme pari industriel a consisté à développer la ''puce'' qui cause. Mais pour couvrir l'investissement colossal et une mise en production planétaire de la bestiole, il fallait en pré-vendre des quantités phénoménales. Alors, on a cessé de fabriquer les anciennes puces très connes (puisque muettes) pour inonder les marchés de puces magiques. Et tant qu'à faire, cela paraissait ''funky'' de relier leurs papattes à des hauts-parleurs afin de faire blabla dans les zinzins quotidiens. C'était la génération des bagnoles qui racontaient leur vie, des premières pannes incompréhensibles, genre moteurs qui calent sous les lignes à haute tension... Nombre d'entre-nous ont connu la R25 à ceintures bavardes ou la 604 baratineuse. Si nos autos ont appris à tenir leur langue, notre avenir technologique s'en trouva quant à lui définitivement bouleversé.

Et après tout : quel mal y-a-t-il à faire causer une cafetière ?

Objectivement, je n'en vois pas.

Sauf qu'entre temps, la puce a fait des petits. Car donner la parole à un bidule au silicium, c'est rigolo, mais ce n'est qu'une première étape dans l'élaboration d'un joyeux foutoir. Lui implanter un simulacre d'intelligence est nettement plus captivant. Et puis surtout, on prépare le conditionnement global de l'humanité : l'asservissement à la technologie.

On crée donc des besoins débilitants, quand ce n'est juste infantilisant.

Les drones multicoptères sont la dernière génération de gadgets nés de la technologie. Que ton téléphone prépare la bouffe à distance est devenu has-been au dernier degré ! Le dernier cri du ché-bran, c'est de faire voyager les objets à quelques mètres du sol.

Personnellement, j'envoie régulièrement des machins dans les airs. Machins qui, jetés avec plus ou moins d'adresse, se fracassent lourdement au sol, quand ce n'est dans la poire de leur destinataire. J'appelle cela l'aérotransport approximatif.

Des fois, ça marche ! Le marteau arrive à destination sans émietter une mâchoire. Mais souvent, ça rate.

Donc pour en revenir à nos robots multicoptèrisés, l'industrie envisage très sérieusement de les envoyer parcourir la planète pour des tâches d'une inutilité fracassante. Pourquoi ?

Parce que ce faisant, on ''démocratise'' les trucs qui volent (rappelez-vous la pupuce parleuse). On développe la technologie, améliorant le guidage, l'autonomie, les performances... On devient précis et rapide. Et pour ce faire, on intéresse un maximum d'acteurs.

J'y vois trois raisons : développer à moindre coût (économie d'échelle) des technologies qui, une fois adultes, seront reprises et généralisées ; baisser le coût du transport (pression pour soumettre les messageries), et accessoirement tester l'acceptation des populations survolées par ces insectes géants.

En toile de fond, j'y vois les lobbies militaires et policiers, pour qui le renseignement et la surveillance sont essentiels à la réussite de leurs missions.

Et pour que tout cela soit encadré, l'administration a légiféré, notamment au printemps 2012, imaginant une réglementation ''ouverte'', qui fait souvent référence aux dérogations, (au cas par cas pour reprendre les termes de la DGAC), prenant ainsi des devants d'une ingénierie débordante d'imagination.

Pour schématiser, le législateur considère qu'il existe 7 catégories d'aéronefs télépilotés (de l'aéromodèle d'une masse maximale de 25 kg au matériel volant d'une masse inférieure à 150 kg) et 4 scénarios de missions (du vol en vue directe dans un rayon de 100 m au hors vue directe en passant par le survol de populations...). Par ailleurs, les opérateurs doivent figurer sur la liste établie par la DGAC. Les télépilotes doivent être titulaires d'une certification officielle théorique minimale commune aux pilotes ULM, PPL, hélico', planeur..., disposer d'une DNC, d'un MAP, voire faire démonstration de leur compétence. Les matériels doivent recevoir une attestation de conception de type, voire être certifiés. Selon leur catégorie, ils doivent intégrer des systèmes de secours automatisés ou pilotés.

Pour faire encore plus simple, il est prévu que des aérostats de 25 kg et des aéronefs de 4 kg survolent des populations.

Pour ma part, je prévois de sortir casqué ! Parce qu'à l'instar de la R25 électro-sensible ou de la cafetière farceuse, les bidules à hélices vont immanquablement se répandre ici ou là, voire ici ET là.

Maintenant je reviens sur l'information initiale, à savoir l'utilisation professionnelle des drones, lorsqu'ils remplacent (avantageusement ou non) des modes conventionnels de transport. Et je me pose cette question : ''devrons-nous cotiser davantage à l'UNEDIC pour assurer la pitance de tous les livreurs rendus à leur foyer ?

Je vois d'ici les railleries faciles :

- modèle progressiste tendance mondialiste : ''ah le vieux con ! C'est comme l'époque où on craignait que les ordinateurs fabriquent des chômeurs...''

Ben oui ; ils en ont fabriqué, en très grand nombre d'ailleurs.

- modèle altruiste tendance socialiste : ''peut-être, mais les robots industriels ont soulagé les hommes de travaux pénibles...''

Effectivement, attendre le versement de l'ASSEDIC devant la téloche est moins pénible que d'assembler un châssis de bus.

- modèle fataliste tendance sarcastique : ''c'est le progrès ; il faut vivre avec son temps...''

Erreur : il faut vivre avec le temps de gens très intelligents qui, sous couvert de modernisme, ne pensent qu'à améliorer la productivité en supprimant le maillon merdique du business : l'Homme !

Que ta paire de Zalando arrive dans 2 jours ou dans dix secondes va-t-il inverser la rotation de la Terre ?

Ta pizzacopter aura-t-elle le même goût si le gamin qui la transportait est rendu SDF ?

- modèle sécuritaire tendance moraliste : ''livreur de pizzas est un métier dangereux, c'est mieux pour la société !''

C'est vrai ; les kamikazes en scooter prennent des risques ; mais ils bossent ; ils sont utiles à la société et ne la chargent pas. Le robot volant est 100% inutile à la société. Il est juste rentable pour celui qui l'emploie. Comme les robots industriels, qui bossent à la perfection sans jamais tomber malade, jour et nuit, sans salaire ni revendication : 100% inutiles dans une société qui a besoin d'affairer sa population.

Vision à court terme, ou manque de vision... Tout ce qui compte, c'est de produire des merdes qui ne servent à rien, ou si peu, et qu'on nous impose comme mode de vie en voulant nous faire croire que c'est le progrès. Produire vite, toujours plus et pour moins cher, afin d'enrichir des multinationales dégoulinantes de cynisme.

Et nous, pauvres cons, achetons vite, sans réflexion, consommons comme des veaux des produits marketing labellisés ''vu-à-la-télé'', synonyme de ''gogo''. Demandons la livraison super-extra-express, pour assouvir notre frénésie et précipitons-nous sur la commande suivante.

Le mur est notre cible. Nous y allons à marche forcée.

Alors marre des robots constructeurs, robots démolisseurs, robots réparateurs, robots rangeurs, robots lobotomiseurs... et maintenant robots livreurs.

Client occasionnel de boutiques en ligne, je ne reconnais pas à ces enseignes le droit de faire passer au-dessus de ma tête les colis de ma voisine. Je refuse que mon prochain achat survole la surface pour améliorer le profit d'une marque. Je veux qu'un brave type me livre mon colis ; lui payer un coup et qu'on échange notre humanité en se serrant la louche. Je n'ai que du mépris et un double 12 superposé pour le drone qui déchargera chez moi. Comme à la caisse automatique du super-marché : j'appuie systématiquement sur le bouton d'aide, afin qu'un humain conserve quelques instants encore son précieux emploi.

En revanche, j'accepte que des robots efficaces viennent en aide aux personnes en difficulté. La sécurité civile teste actuellement le largage de bouées par drone... Plus rapide qu'une intervention humaine, complémentaire avec l'action des sauveteurs, ce machin représente un progrès réel sans bouffer d'emplois. Que des robotcoptères cherchent des alpinistes perdus : oui. Qu'ils assurent des tâches dangereuses et non profitables : OUI. Qu'ils amusent les mômes et occupent nos loisirs, oui aussi. Qu'ils renforcent les missions de surveillance et améliorent notre sécurité : pourquoi pas. Mais qu'ils remplacent nos derniers travailleurs : NON.

Ou alors... que chaque salaire perdu à cause d'un robot activé soit compensé par une taxe à la charge de l'entreprise. On verra alors si le progrès passe encore par les automates...

Bien que passionné par les choses de l'air, je pense qu'il est de notre devoir de rester en éveil. Notamment de surveiller avec sang-froid l'intrusion des drones dans notre société.

Il n'y a de progrès que dans l'amélioration de nos vies. Quatre hélices tournant à l'unisson n'en présentent pas la caractéristique. Selon moi.

Volons en paix en 2014, loins de ces niaiseries automatisées.

Miguel Horville

voir l'arrêté du 11 avril 2012
voir le précis des domaines de vol

ANCIENS EDITOS
A force de faire n'importe quoi...
octobre 2024
Somme-nous semblables ?
septembre 2024
ULM : les paillassons volants (partie 2)
août 2024
ULM : la serpillière des profiteurs (partie 1)
avril 2024
Et la montagne accoucha d'une souris
mars 2024
Le client est-il roi ?
janvier 2024
Remise de gaz : y penser à deux fois !
décembre 2023
Cachez cet objet volant télépiloté que je ne saurais voir
octobre 2023
Blois 2023 : l'audace et la persévérance
septembre 2023
Et s'il y avait moyen de ne pas disparaître ?
juillet 2023
Un constructeur qui se fout bien du monde
juin 2023
Quand sonne l'heure
avril 2023
Situations conflictuelles
mars 2023
Le coup du marteau sur la tong
février 2023
Mon curé chez les ulmistes
janvier 2023
Les complices
décembre 2022
Quand les clubs nous font voler
octobre 2022
Fin de cycle sur tapis rouge
septembre 2022
Quand l'intégrisme vert vire au kaki
août 2022
Les règles et ce qu'on en fait
juillet 2022
Grand pouvoir et irresponsabilité
juin 2022
Un martien, sinon rien...
avril 2022
Et si on taxait l'indécence ?
mars 2022
Une lente descente vers le désenchantement
février 2022
Un ''sentiment'' d'augmentation...
janvier 2022
Histoire d'un voyage ordinaire extra
décembre 2021
MANEX pour OBL en OPS ULM
octobre 2021
MULM de la FFPLUM : une réussite !
septembre 2021
Du bal des timbrés aux joyeux suicidés
août 2021
Une idée féministe... l'ULM inclusif tendance woke sauce Fayence
juillet 2021
Une balle dans le pied... Une autre dans la tête !
juin 2021
Monopole, le chemin de la régression
mai 2021
La pilule de la veille
avril 2021
L'argent des autres
mars 2021
Comparaison n'est pas raison
février 2021
Fédérer, uniformiser... désunir
janvier 2021
De quoi j'me mêle ?
décembre 2020
Le diable se cache dans les petits caractères
novembre 2020
La cocorilose* en inaction
octobre 2020
J'ai perdu mon ombre... et bientôt ma liberté
septembre 2020
Punir les pilotes ; une idée citoyenne !
août 2020
Et Dieu créa la différence
juillet 2020


Bonne fête, mère Mozette
Aujourd'hui, dimanche 7 juin, nous fêtons nos mamans. Contrairement à une idée répandue, la fête des mères n'est pas un événement commercial moderne imaginé par d'avides discounters, mais prend ses origines loin dans le passé, dans la Grèce antique (célébrations printanières liées à la fertilité et la...

Vivre riche, sans modération
mai 2020
Histoire d'un rêve qui se termine
avril 2020
Le virus qui rend tout fou
mars 2020
Ceux dont la vie vaut plus
février 2020
Les bonnes résolutions
janvier 2020
Les pendul' à l'heure
décembre 2019
Pour qui roule la fédé' ?
novembre 2019
Qualif' radio : le début du renoncement
octobre 2019
Cherche ULM désespérément
septembre 2019
De qui se moque-t-on ?
août 2019
Les spécialistes
juillet 2019
Le respect des hôtes, des autres
juin 2019
Métastases cherchent naïfs pour proliférer
mai 2019
Les nouveaux ULM...
avril 2019
Vend liberté : mise à un prix 300 000 euros !
mars 2019
Remplir les cases
février 2019
Générations éphémères
janvier 2019
Est-il urgent d'attendre ?
décembre 2018
Aérodrome avec supplément d'âme
novembre 2018
Promotions à débattre
octobre 2018
Victimes or not victimes ?
septembre 2018
La foire aux accessoires
août 2018
Esprit ULM... es-tu là ?
juillet 2018
Entre peu et pas, un état d'esprit
juin 2018
Espace Schengen, my ass...
mai 2018
Entêtement irresponsable
avril 2018
Du carburant frais pour voler ''safe''
mars 2018
Universalité ; diversité ; francophonie...
février 2018
ULM : aéronef sémantiquement indésirable
janvier 2018
Ce contexte qui brise le rêve ?
décembre 2017
Parler patois pas parler à toi ?
novembre 2017
From rustic to high-tech
octobre 2017
S'élever, se régaler, se déplacer...
septembre 2017
De l'impuissance à l'imposture
août 2017
Baliser entre les cônes
juillet 2017
ULM : le bal des hypocrites
juin 2017
Les marquis du narquois vous em... brassent
mai 2017
500 kg : et après ?
avril 2017
Il est si facile d'interdire
mars 2017
A quand les ZIP ?
février 2017
Spécialistes en herbe
janvier 2017
Légèreté
décembre 2016
Comprenez si vous pouvez
novembre 2016
Le ciel a bon dos
octobre 2016
Salon de Blois : les limites
septembre 2016
Les euro-cocus du 8.33
août 2016
Concepteurs amateurs
juillet 2016
Ce chien... un humain comme les autres
juin 2016
Fumisterie électrique
mai 2016
De l'économie au foutage de gueule
avril 2016
Ça va chier !
mars 2016
Presbyte cherche gros caractères
février 2016
Et après?
janvier 2016
Le prix du baril d'a-brut-i...
décembre 2015
Vol de nuit : le bal des hiboux
novembre 2015
Et si la sophistication tuait ?
octobre 2015
Victimes consentantes
septembre 2015
Le sentir... ou pas
août 2015
La saison des gamelles
juillet 2015
Qui osera ?
juin 2015
Un système qui nous échappe
mai 2015
Multicopters : vers une 7e classe ULM ?
avril 2015
Le cinquième élément : celui de trop
mars 2015
Vigipirate : entre psychose et laisser-aller
février 2015
Dans le brouillard de la schizophrénie
janvier 2015
Une furieuse envie de voler !
décembre 2014
Marques sulfureuses... attention patates chaudes !
novembre 2014
Ceux dont la vie vaut moins...
octobre 2014
Drones : la messe est dite
septembre 2014
Attention aux bagages
août 2014
Dieu ne connaît pas ma soeur !
juillet 2014
L'ultime décision ; question de choix
juin 2014
Le beurre, l'argent du beurre et le reste on s'en fout
mai 2014
Volez! : la fin d'une histoire
avril 2014
Nous irons tous au paradigme*
mars 2014
Histoire belge
février 2014
Transfert d'incompétence : le Noël des voyous
janvier 2014
Drones à toutes les sauces
décembre 2013
Sophistication simplifiée
novembre 2013
Histoires de discrimination
octobre 2013
Un cône, ça se respecte ou ça se fume
septembre 2013
Dommages collatéraux
août 2013
Voler n'est pas un caprice
juillet 2013
Profiter c'est bien : mériter c'est mieux
juin 2013
Rencontres avec des martiens
avril 2013
Les pommes tombent des arbres... Les bananes s'y accrochent !
mars 2013
La méritocratie des branleurs ; comment accélérer le déclin
février 2013
Occasion : qu'est-ce qui cloche au pays des ulmistes ?
janvier 2013
Problèmes d'entoilage X-Air : lumière en vue
décembre 2012
Total Access ou l'étonnant paradoxe d'un vampire au sourire d'ange
novembre 2012
Une tablet'... à tous prix !
octobre 2012
Sainte Sarah is watching you*
septembre 2012
Intérêts... Désintérêt ? Connivence ou naïveté ?
août 2012
Conflit de probité ou incompétence... le danger guette
juillet 2012
J'ai tombé, je m'ai fait mal, je m'ai relevé... ou pas
juin 2012
En mai, fais ce qu'il te plaît...
mai 2012
Le bruit flou de l'administration
avril 2012
Rotax 912 iS : une innovation qui se mérite
mars 2012
Ne sombrons pas dans la vulgarité
février 2012
Et quoi d'autre pour 2012 ?
janvier 2012
Voler, c'est voler
décembre 2011
Les limites ont été atteintes... et dépassées !
novembre 2011
Blades...
octobre 2011
Les femmes, mères de tous les maux
septembre 2011
Le Tour ULM : une belle vitrine pour l'aéronautique
août 2011
Fausse-bonne idée cherche gogos... pour allonger l'oseille
juillet 2011
Du choix des mots et des propos
juin 2011
Basses couches en vert kaki
mai 2011
Ce facteur qui sonne toujours ... le glas
avril 2011
OUI... MAIS...
mars 2011
Des vautours planent sur nos ULM
février 2011
Restons éveillés
janvier 2011
Faisons un rêve
décembre 2010
Attention à la tâche d'huile...
novembre 2010
Mon royaume pour un bidon
octobre 2010
Genèse d'une Loi liberticide
septembre 2010
Aime le ciel, et le ciel t'aimera... peut-être
août 2010
Voler en Belgique... ou rouler
juillet 2010
Poule, oeuf et sophistication : la classe de plus, la classe de trop ?
juin 2010
Sous couvert d'anonymat
mai 2010
Taxe carbone : carbonisée
avril 2010
L'union fait notre force, notre salut
mars 2010
Le désespoir de ceux qui restent
février 2010
Bug de l'An 2000 : une simple répétition ?
janvier 2010
Migration : coucous désorientés
décembre 2009
La Chine s'éveille ; le monde s'endort
novembre 2009
Une crise... quelle crise ?
octobre 2009
Un parachute par amour, ou par respect
septembre 2009
Quand les pilotes dérapent...
août 2009
Quand les médias dérapent !
juillet 2009
A moi le ciel électronique !
juin 2009
A la gravité s'ajoute la connerie !
mai 2009
Etrange réglementation...
avril 2009
Inauguration
mars 2009

Webmaster : Fabrice Gay & MH - Rédacteur : Miguel Horville - ULMaG ©2008-2024
















page générée en 0,01 sec.